Cliquez ici >>> 🎎 apce agence pour la création d entreprise

Enchoisissant un organisme jusqu'ici plutôt discret en matière d'économie sociale et solidaire (ESS) : l'Agence pour la création d'entreprises (APCE). Comme l'a révélé son directeur général Alain Belais, l'APCE entend désormais mettre en place un programme d'actions concret, autour de quatre objectifs. Le13 avril 2016, l'Agence Pour la Création d’Entreprises (APCE) devient l'Agence France Entrepreneur et est présidée par Mohed Altradà la suite du troisième comité interministériel à l’égalité et à la citoyenneté tenu à Vaulx-en-Velin. Réaliserun questionnaire - APCE, agence pour la création d'entreprises, création d'entreprise, créer sa société,l'auto-entrepreneur, autoentrepreneur, auto-entrepreneur, auto entrepreneur, lautoentrepreneur, reprendre une entreprise, aides à la création. Réaliser une enquête de terrain consiste à interroger la clientèle ciblée au moyen d'un questionnaire.Ce L Agence pour la création d'entreprises ou APCE est une association loi 1901 créée par les pouvoirs publics en 1996. Elle est financée à 60% par l'Etat. Cette association à but non lucratif a pour objectif l' aide à la création, à la transmission et au développement des entreprises. APCEAgence pour la création d'entreprise In Progress Ce site donne des conseils pour créer ou reprendre une entreprise : où se renseigner, les aides, les différents financements, les réglementations en vigueur, la fiscalité locale, la protection sociale propre et pour ses salariés, en France et à l'étranger, les mises en garde et toute l'actualité, avec une revue de presse, des Nouveau Site De Rencontre Francais Gratuit. Entrepreneuriat Les négociations entre CCI, Medef, experts comptables et chambres des métiers débutent mercredi pour boucler d’ici fin août le tour de table de l’APCE Les faits - Le retrait brutal de l’Etat a poussé les acteurs privés à monter en urgence un dossier de reprise de l’APCE. Le Medef est prêt à y participer. Tout un symbole. Le monde patronal est prêt à reprendre en main la gestion de l’Agence pour la Création d’entreprise APCE. Le symbole n’est pas anodin. Jusqu'à présent, à la différence de la plupart de ses homologues étrangers, l’agence était sous statut public, financée pour les deux tiers par l’Etat 3 à 4 millions d’euros par an depuis sa création en 1979. C’est une évolution normale et logique de cette organisation, notamment parce qu’elle est désormais dans un contexte qui a professionnalisé la création d’entreprises et qu’il est par ailleurs indispensable que l’image des entrepreneurs irrigue les actions de l’agence», analyse François Hurel créateur et premier délégué général de l’APCE. Mais cette évolution, pour naturelle qu’elle apparaisse aujourd’hui, n’est pas allée de soi. Il a d’abord fallu que l’Etat s’en désengage. Ce qui s’est fait avec une brutalité qui a surpris la plupart des observateurs. Depuis un an, tout le monde savait que le financement de l’APCE n'était plus viable, mais les cabinets Montebourg et Pellerin ont laissé traîner le dossier et n’ont pas cherché à organiser la reprise avant d’annoncer brutalement fin 2013 qu’ils lui coupaient les vivres », résume un acteur de la reprise. Une critique des pouvoirs publics qui en a motivé beaucoup, au sein du patronat, pour reprendre l’APCE afin de prouver que le secteur privé pouvait gérer mieux que l’Etat ce type d’organisation chargée d’offrir un service notamment le cas du Medef. Au terme d’une longue réflexion interne, il a fait savoir qu’il était prêt à y participer lui aussi. Une manière pour l’organisation patronale de la rue Bosquet de reprendre pied sur le sujet de la création d’entreprises dont elle s’est tenue plutôt éloignée au cours des dernières années. Pour l’heure, les modalités précises de sa participation restent à définir. Contrairement aux autres organisations représentant le monde de l’entreprise - chambres de commerces, experts comptables ou encore les chambres de métier, tous pressentis pour injecter directement du capital - le Medef n’a pas encore décidé si il mettrait de l’argent. Il faut d’abord s’entendre sur la stratégie de l’APCE qui doit véritablement devenir un guichet unique au plan national mais également local, dédié à la création d’entreprises », estime Thibault Lanxade, président du pôle entrepreneuriat et son ancienneté, l’APCE souffre paradoxalement d’un déficit d’image et de notoriété. Il existe une catégorie d’entrepreneurs, ceux de startup notamment, qui ne la connaissent pas car ils n’ont pas eu recours à ses services ; mais dans les métiers de l’artisanat ou du commerce de proximité, l’APCE est très connue et offre de véritables services », poursuit Thibault Lanxade. Le Medef suggère par exemple de coupler les quelque 10 millions de visiteurs annuels du site sa principale force avec d’autres sites spécialisés dans la création d’entreprises au niveau local, à l’image de Sémaphore, la base de données des chambres de commerce et d’industrie consacrée aux aides aux entreprises. Une agence pour la création d’entreprises ne peut être efficace que si elle conjugue information nationale sur les aides et autres démarches à accomplir avec les besoins locaux, comme par exemple la liste des sites ou des commerces à reprendre au niveau de chaque ville », insiste Thibault négociations entrent désormais dans la phase concrète. Le conseil d’administration de l’APCE se réunira pour la deuxième fois en deux jours, mercredi, afin de mettre en place une gouvernance provisoire, chargée de réfléchir à la future organisation et de définir les modalités de participation des différents acteurs du monde de l’entreprise. Le plan de financement devra être bouclé d’ici fin août, avec une part importante des capitaux réservés aux CCI ainsi qu’aux chambres de métier. Avant de nous engager sur un montant précis de participation, nous voulons être certains, auparavant, que l’Etat ne nous demande pas de financer une agence dont il ne veut plus s’occuper tout en continuant à nous ponctionner nos dotations », prévient un acteur du monde outre, même avec une éventuelle participation du Medef et des experts comptables, il faudra quand même que les pouvoirs publics complètent le tour de table. Cela pourrait se faire via la Caisse des dépôts ou encore à travers Pôle emploi. Nous n’avons pas vu les représentants de Pôle emploi dans les négociations, mais leur présence ne serait pas absurde dans la mesure où un créateur d’entreprise sur deux est chômeur », explique l’un des négociateurs. Agence pour la création d'entreprises est le site officiel de l'Agence pour la création d'entreprises. Il s'agit d'un site incontournable pour tout ceux qui ont dans l'idée de créer ou de reprendre une entrepise. En effet le site est une mine d'or d'informations pour le futur créateur d'entreprise sur toutes les phases de son projet idée, étude de marché, financement, aides, statut juridique auto-entrepreneur , EI, SARL, ..., installation, premiers mois d'activité... Avec ce site aucun créateur ou jeune entrepreneur ne peut être pris au dépourvu des conseils en ligne, divers outils interactifs, des fiches pratiques, des documents types, ... vous ne saurez plus où donner de la tête quand vous le visiterez. Mais une chose est sûre vous en resortirez renforcé dans votre idée de créer, en effet est un véritable dopant de l'initiative! Enfin si dans toutes ces informations, il vous restait un doute, le site propose également un forum où des experts répondront à vos questions en des temps records. Questions en rapport avec avis sur le 1er à donner votre notes sur qu'il mérite 10/10, nous avons besoin de plus de notes pour estimer ce site. SOMMAIRE EN BREF • la méthodologie de la création d'entreprise • la méthodologie de la reprise d'entreprise • les appuis logistiques et financiers • les dossiers économique et financier • le guide des démarches et formalités administratives CONSULTATION FACILE • un guide pour circuler rapidement dans l'ouvrage • un plan de l'ouvrage en un coup d'oeil • des sommaires de chapitres très détaillés • plusieurs index... RESTER EN CONTACT Conseils en ligne et actualités sur le web Cette nouvelle édition, entièrement refondue et actualisée du guide de l'APCE est la référence pour tous ceux qui veulent se mettre à leur compte. Selon leurs compétences et leurs motivations, ils pourront choisir leur voie, création ou reprise, et seront accompagnés jusqu'au démarrage de l'activité. La création ou la reprise d'une entreprise deviennent, grâce à ce guide, des actes simples. Inclus sur CD-Rom • Votre dossier financier • Votre dossier juridique • 1000 liens Internet utiles Configuration requise • PC avec processeur Pentium, 32 Mo de RAM, Systèmes d'exploitation Windows 9x ou supérieur ; Linux • Macintosh avec processeur PowerPC ou Gx, 32 Mo de RAM ; système d'exploitation MacOS 8 ou supérieur - Microsoft Word 97 ou supérieur visionneuse fournie sur le CDRom - Microsoft Excel 97 ou supérieur visionneuse fournie sur le CDRom - Adobe Acrobat Reader ou supérieur fourni sur le CD-Rom - Microsoft Internet Explorer ou supérieur, ou Netscape Navigator ou supérieur fournis sur le CD-Rom. Vous souhaitez lancer une micro-entreprise mais ne savez pas quelles sont les aides financières disponibles ? Nous vous présentons ici un panorama des aides publiques et privées auxquelles vous pouvez avoir recours pour vous lancer comme micro-entrepreneur en toute sérénité. L’exonération de début d’activité de création ou de reprise d’entreprise ACRE Cette toute nouvelle aide mise en application depuis le 1er janvier 2019 s’applique à tous les créateurs d’entreprise ou les entrepreneurs en reprise d’entreprise. Cette aide correspondait, jusqu’au 31 décembre 2018, à l’Aide aux Chômeurs Créateurs ou Repreneurs d’Entreprise ACCRE et s’appliquait à une liste limitée de bénéficiaires. Cette aide permettait aux créateurs d’entreprise alors chômeurs d’accéder à des demandes d’aides et d’accompagnement supplémentaires pour le lancement de leur entreprise ARCE, CAPE, NACRE etc. Désormais, la distinction est faite entre les volets aides et accompagnement et exonération des charges sociales. Il n’y aucune demande précise à faire pour bénéficier de l’ACRE puisque tous les nouveaux entrepreneurs y ont automatiquement accès. Il vous faudra cependant remplir une condition votre revenu annuel doit être inférieur à 40524 euros après abattement. En détail, cela équivaut à 139 738 euros de chiffre d’affaire hors taxe pour les activités commerciales, 81 048 euros de chiffre d’affaire hors taxe pour les activités de services et artisanales, et 61 400 euros de chiffre d’affaire hors taxe pour les activités libérales. L’ACRE consiste en une exonération dégressive partielle des cotisations que l’entrepreneur doit payer chaque mois ou chaque trimestre lorsque celui-ci déclare le chiffre d’affaire de la micro-entreprise. A titre indicatif, les taux appliqués correspondent Pour les activités d’achat et de revente de marchandises, ainsi que les prestations d’hébergement, à 3,2% la première année, 6,4% la deuxième anné et 9,6% la troisième année Pour les activités de services commerciaux et les activités artisanales, ainsi que les activités libérales, à 5,5% la première année, 11% la deuxième année et 16,5% la troisième année Pour les activités de location de tourisme, à 2,9% la première année, 3% la deuxième année et 4,5% la troisième année Au bout des trois années d’aide, il vous sera appliqué les taux pleins de cotisations sociales, à savoir 22% pour les activités de service commercial, les activités artisanales, et les activités libérales, et 12,8% pour les activités d’achat et de revente de marchandises et les prestations d’hébergement sauf locations meublées. Si toutefois votre revenu annuel dépasse le seuil de 40524 euros après abattement, le taux plein de cotisation s’appliquera uniquement à la part de revenus dépassant le seuil, ainsi, vous ne perdez pas le bénéfice de l’ACRE. L’aide sous forme d’exonération est valable pour trois ans. Si l’entrepreneur souhaite bénéficier à nouveau de cette aide, il faudra respecter un délai de 3 ans commençant à la fin de la troisième année de la première aide accordée, avant de pouvoir effectuer une demande d’aide. L’Aide à la Reprise ou à la Création d’Entreprise ARCE Cette aide s’adresse aux demandeurs d’emploi qui sont récepteurs de l’Allocation d’Aide au Retour à l’Emploi ARE et qui souhaitent lancer ou reprendre une entreprise. Sous cette forme d’aide, le bénéficiaire reçoit ses allocations chômage en capital, ce qui lui permet de répondre au besoin financier lors de la création de la micro-entreprise. Cette aide est aussi applicable aux demandeurs d’emploi qui sont admissibles au bénéfice de l’ARE mais qui ne la perçoivent pas au moment où ils créent ou reprennent une entreprise. La demande est faite auprès de l’agence Pôle Emploi de laquelle dépend le bénéficiaire. Le montant perçu sous l’ARCE correspond à 45% du montant restant sur l’ayant droit à l’ARE, duquel sera effectué une déduction de 3% pour le financement des retraites complémentaires. Le premier versement correspond à moitié de l’aide lors de la création ou de la reprise d’entreprise. Le second versement la moitié restante s’effectue 6 mois après la date de création ou de reprise de l’entreprise, si celle-ci est toujours en opération. Si l’entreprise venait à fermer avant que le second versement ne soit effectué, le bénéficiaire peut toujours récupérer le reliquat des droits sous réserve que ces droits ne soient pas déchus. Il vous sera alors demandé un justificatif de cessation d’activité. Le maintien des allocations lors de la création de la micro-entreprise L’Allocation de Solidarité Spécifique ASS Le versement de l’Allocation de Solidarité Spécifique, initialement pour les demandeurs d’emploi qui ont épuisé leurs droits au chômage, est conditionné aux ressources et à l’activité professionnelle antérieure. Si vous avez repris votre activité professionnelle en tant que micro-entrepreneur après le 1er septembre 2017, vous percevrez pendant les trois premiers mois de l’année civile d’activité le cumul des revenus sous l’ASS dans leur intégralité. Le versement de l’ASS est interrompu après les trois mois de cumul si la micro-entreprise est toujours en cours d’activité. Le micro-entrepreneur peut cependant bénéficier de la prime d’activité en contrepartie, en faisant la demande auprès de la CAF ou de la MSA. Le Revenu de Solidarité Active RSA Le RSA est aussi maintenu durant les trois mois à compter de la date de création de la micro-entreprise. Au bout des trois mois, le chiffre d’affaire doit être déclaré à la CAF pour recalculer le montant perçu pour la RSA. Il est possible de cumuler RSA, prime d’activité et revenus perçus par la micro-entreprise sous certaines conditions. La prime d’activité Cette aide versée par la CAF est disponible pour les auto-entrepreneurs et peut être utile pour lancer son entreprise. La prime d’activité est versée sous conditions de ressources et en fonction du revenu global du foyer ainsi que la composition familiale. Pour avoir droit à la prime d’activité, il faut être résident régulier sur le territoire français, avoir une activité professionnelle et percevoir des revenus modestes. Le bénéficiaire doit déclarer ses ressources auprès de la CAF tous les trois mois. La CAF procède au versement de la prime tous les mois, tant que les ressources déclarées sont compatibles avec la prime d’activité. Il est possible de cumuler cette prime avec le RSA. Les prêts pour financer la micro-entreprise Le Nouvel Accompagnement à la Création ou la Reprise d’Entreprise NACRE permet de souscrire à un prêt taux zéro allant de 1000 euros à 8000 euros sur un maximum de 5 ans. Le prêt doit être associé à un prêt complémentaire d’une durée et d’un montant supérieurs ou égaux à ceux du taux zéro. Peuvent bénéficier du NACRE les demandeurs d’emploi sous conditions, les bénéficiaires du RSA, ASS ou ATA, les personnes de 18 à 25 ans, les personnes âgées de 29 ans maximum sous conditions, les personnes salariées ou licenciées sous conditions, les personnes titulaires d’un contrat d’appui au projet d’entreprise et sans emploi, les personnes qui implémentent leur entreprise dans un quartier prioritaire de la politique de ville QPPV et les bénéficiaires du complément libre choix d’activité CLCA ou de la prestation partagée d’éducation de l’enfant PreParE. Pour le NACRE, il faut s’adresser à un organisme ayant une convention avec l’État et la Caisse des dépôts. Le Fonds de Garantie à l’Initiative des Femmes FGIG C’est un dispositif qui a pour but de faciliter l’accès pour les femmes au crédit bancaire pour la création, la reprise ou le développement d’entreprise. Cette aide s’adresse aux femmes sans condition de ressources, ni de statut juridique et ni d’activité d’entreprise. Le FGIG donne aux bénéficiaires une garantie d’emprunt pour une période de 2 à 7 ans pour les prêts démarrant à 5000 euros et une couverture pouvant atteindre 70% pour les prêts allant jusqu’à 45000 euros. C’est le Fonds Territorial France Active qui est responsable de la gestion des dossiers pour cette aide. Les prêts d’honneur et les micro-crédits Les prêts d’honneur sont des prêts personnels à taux zéro octroyés au créateur et au repreneur d’entreprise, sans garantie ni caution personnelle. Les montants accordés varient de 2000 euros à 50000 euros, remboursables sur 2 ans à 5 ans. Ces prêts sont donnés par des associations à but non lucratif, et les organismes référents sont Initiative France et Réseau Entreprendre. Les micro-crédits peuvent être accordés par plusieurs organismes mais l’Association pour le Droit à l’Initiative Economique ADIE reste la référence. Le prêt ADIE est d’un montant maximal de 10000 euros auquel peuvent s’ajouter des complémentaires d’aide de l’Etat ou de la Région ou un prêt d’honneur. Le remboursement se fait sur une période maximale de 4 ans avec deux taux d’intérêt applicables 7,53% pour les micro-crédits de 500 euros à 6000 euros et 6,69% pour les micro-crédits dans la fourchette supérieure jusqu’au plafond de 10000 euros. Les aides des collectivités territoriales Vous pouvez bénéficier d’une aide des collectivités territoriales sous forme d’exonération d’impôts ou de taxes, ou même de subventions ou cautionnement aux prêts. Chaque région fixe les conditions et les modalités d’obtention des aides. Vous pouvez accéder à une liste des aides existantes via le moteur de recherche du Répertoire National des Aides aux Entreprises. Les autres aides Vous pouvez vous renseigner auprès de l’URSSAF, l’agence pour la création d’entreprises APCE, les Boutiques de Gestion des Entreprises BGE, les chambres des métiers et de l’artisanat CMA et les chambres de commerces et d’industrie CCI pour un accompagnement à la création et la gestion d’une micro-entreprise. Si vous souhaitez bénéficier d’une aide à la formation professionnelle, vous pouvez contacter le fonds d’assurance formation dont vous dépendez l’Agefice pour les activités commerciales, industrielles ou de prestations de services, le FIFPL pour les activités libérales ou le FAFCEA pour les activités artisanales. Vous pouvez également choisir de vous intégrer à une pépinière d’entreprises pour un hébergement lors de la création et durant les premières années de vie de votre entreprise. Dans ce cas, vous aurez accès à un suivi individualisé et vous pourrez opérer dans un cadre juridique, social et fiscal. Dans tous les cas, veillez à élaborer vos dossiers avec soin et rigueur pour mettre toutes les chances de financement de votre côté. Notez que si vous participez au Stage de Préparation à l’Installation vous pourrez bénéficier d’un accompagnement pour monter vos dossiers de demande d’aide. Ces publications peuvent également vous intéresser Allocation des Travailleurs Indépendants pour un micro-entrepreneur Quel est le coût de création d’une micro-entreprise ? Faut-il ouvrir un compte bancaire professionnel pour votre micro-entreprise ? Quelles sont les limites de chiffre d’affaire pour un auto-entrepreneur ? Devez-vous obligatoirement souscrire une assurance professionnelle pour votre micro-entreprise ? Comment protéger votre patrimoine personnel ? Quelles sont les aides pour faire face aux conséquences du covid 19 ? Cumuler le contrat de sécurisation professionnelle et une activité de micro-entrepreneur L’Agence pour la création d’entreprise en France APCE a souligné en février 2014 la baisse du nombre d’entreprises individuelles créées sous le régime de l’auto-entrepreneur -2,1% par rapport à 2012. Cette régression, même si elle a été brève, a suscité chez les créateurs de TPE la volonté de se faire accompagner pour réussir leurs projets. La restructuration du secteur entrepreneurial En 2012, l’INSEE a compté 3 391 594 TPE, soit l’équivalent de 94% de l’ensemble des entreprises françaises. Évolution essentiellement due à la restructuration du secteur entrepreneurial, son informatisation et sa numérisation. En effet, entre 2000 et 2013, le nombre d’entreprises créées a évolué de + 149%, et durant les 5 premiers mois de 2014, environ 242 503 entreprises ont pu voir le jour soit + 2% eu égard à la même période de 2013 selon le rapport de l’INSEE datant de Mai 2014. La distribution des salariés dans les TPE Selon le Pôle Emploi. Statistiques de 2010, Métropole-champ Unedic, la distribution des salariés dans les différents types d’entreprises n’a pas cessé d’évoluer depuis au moins une trentaine d’années. Les données statistiques de cette source indiquent que les entreprises dont le nombre d’employés ne dépasse pas 9 salariés ont été marquées entre 1976 et 2010 par une forte croissance de 2 448 000 à 3 986 319 ouvriers soit une augmentation de +63%. Les entreprises dont le nombre de salariés ne dépasse pas la cinquantaine viennent juste après – en termes de croissance du nombre d’employés – avec une augmentation de +46% de 3 245 000 en 1976 le nombre est passé à 4 728 515 salariés en 2010. Concernant les entreprises dont le nombre d’ouvriers ne dépasse pas les 500, le nombre d’employés n’a évolué que de +25%. Pour ce qui est du nombre de salariés au sein des entreprises qui font travailler plus de 500 ouvriers, le nombre a chuté de –35%.

apce agence pour la création d entreprise