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LaCavalerie d'Afrique C'est nous (echo bis) les descendants des régiments d'Afrique, Les chasseurs, les spahis, les goumiers (et les goumiers). Gardiens (echo bis) et
Ellesera ensuite impliquée avec d’autres unités françaises et spécialement d’autres éléments de la légion les REP (régiments étrangers de parachutistes) et les REI (régiments étrangers d’infanterie) et des forces spéciales dans diverses missions en Somalie, au Yémen, au Rwanda (opération Turquoise 1994) et en Côte d’Ivoire à partir de 2002 (opération Licorne).
Undes régiments de cavalerie les plus estimés en France portait le nom de « Royal-Croate ». Pendant la guerre de 1870, la formation à laquelle il avait donné naissance, le premier régiment de cuirassiers, se couvrit de gloire à la bataille de Rezonville. Chacun connaît la présence des troupes croates sous les drapeaux de Napoléon 1er. En des temps beaucoup
Desrégiments de l'armée d'Afrique, zouaves, légionnaires, spahis, chasseurs d'Afrique, figurent dans l'ordre de bataille des Ire et 5e Divisions blindées. Il faut aussi rappeler la participation à la campagne du groupe des commandos d'Afrique, et des trois Groupements de tabors marocains. Au 1er juillet 1944, sur 200 000 hommes à pied d'oeuvre en Afrique du
Cequi les sépare, c’est finalement ce qui les rapproche : cette humanité qui fait de chacun d’eux un petit monde accomplissant sa modeste révolution, traçant une destinée minuscule qui, au fil de ce trajet dans la nuit des cités-dortoirs, va connaître sa modification. L'odeur de la forêt d' Hélène Gestern Arléa - 706 pages Un hasard professionnel met entre les
Nouveau Site De Rencontre Francais Gratuit. Pour les articles homonymes, voir Armée d'Afrique. Les Cavaliers de l'Atlas — Tableau représentant des harkis servant dans les compagnies nomades en Algérie, et participant à la protection des populations rurales. Le nom d'Armée d'Afrique, plus exactement d'Afrique du Nord, désignait l'ensemble des unités militaires françaises issues des territoires de l'AFN ou Afrique française du Nord DOM d' Algérie, Maroc, Tunisie dont l’origine remonte pour la plupart à la conquête de l'Algérie[1]. Le terme Armée d'Afrique » n'a pas de signification institutionnelle, mais plutôt le sens général de forces de souveraineté stationnées en Algérie, en Tunisie et au Maroc durant la période coloniale de 1830 à 1962[2]. Intégrée aux forces armées métropolitaines, l'Armée d'Afrique se distinguait de l'Armée coloniale. Elle comprenait des formations composées en majorité voire en totalité d'Européens et d'une minorité de juifs séfarades, et d'autres constituées en grande partie d' indigènes », les proportions variant d'un corps à l'autre. Durant la Seconde Guerre mondiale, le terme d'armée d'Afrique restera attaché au corps expéditionnaire français en Italie et à la 1re armée française[3]. Les régiments de l'Armée d'Afrique Légion étrangère, Zouaves et Tirailleurs sont les plus décorées de l'Armée française juste après le Régiment d'Infanterie Coloniale du Maroc RICM, appartenant aux troupes coloniales[4],[5]. Dissoute en 1962, seules quelques unités maintiennent aujourd’hui la tradition au sein de l’armée de terre française telles la Légion étrangère, le 1er régiment de tirailleurs Épinal, le 1er régiment de chasseurs d'Afrique Canjuers et le 1er régiment de spahis Valence. Historique[] À l’époque coloniale, les forces françaises sont réparties en trois grands ensembles distincts l’armée métropolitaine, les troupes coloniales la Coloniale et l’armée d’Afrique qui dépendent d’un seul état-major général[6]. L’armée d’Afrique est créée lors de la monarchie de Juillet et le débarquement en Algérie le 14 juin 1830 du corps expéditionnaire commandé par le général de Bourmont[2]. Par la suite le terme Armée d’Afrique » a continué à s’appliquer aux troupes qui ont conquis, occupé et pacifié la Régence d’Alger » et après la conquête de l’Algérie, il s’est étendue aux troupes de Tunisie, du Maroc et du Sahara. En 1873, lors de la réorganisation de l’armée, l’armée d’Afrique forme un corps d’armée constitué, le 19e corps d’armée. Toutefois l’appellation Armée d’Afrique » reste en usage jusqu’à la fin de l’ère coloniale[7]. Les unités de zouaves sont créées en 1830, les chasseurs d'Afrique en 1831, les tirailleurs algériens en 1841, le corps des spahis en 1843 et les compagnies méharistes sahariennes en 1894. Des Bureaux arabes » sont également créés afin d’administrer les territoires militaires dès 1844. Au Maroc, les goums sont créés par le général Lyautey en 1908. La conscription est finalement instituée en Algérie en 1912. Composition[] Article détaillé Régiments des coloniesTroupes d'Afrique. Les corps européens[] Goumier marocain en 1944 Zouaves européens à partir de 1841 Légion étrangère Chasseurs d'Afrique Bataillons d'infanterie légère d'Afrique Les corps nord-africains[] Zouaves indigènes à l'origine, puis mixtes jusqu'en 1841, européens ensuite Tirailleurs algériens Turcos mixtes , marocains et tunisiens Spahis Goumiers marocains Compagnies sahariennes Unités d'artillerie, du génie et des services. Campagnes militaires[] L’Armée d’Afrique a apporté une importante contribution à l’effort militaire français dans de nombreuses campagnes. La Conquête de l'Algérie par la France[] Elle se réalise en plusieurs étapes distinctes, du débarquement de l'Armée d'Afrique à Sidi-Ferruch le 14 juin 1830, commandée par le général de Bourmont, jusqu'à la reddition formelle de l'émir de Mascara, Abd el-Kader, au Duc d'Aumale le 23 décembre 1848,le territoire conquis est departementalisé. La Guerre de Crimée[] La guerre de Crimée oppose de 1853 à 1856, l'Empire russe à une coalition comprenant l’Empire ottoman, le Royaume-Uni, l'Empire français de Napoléon III et le royaume de Sardaigne. La Campagne d'Italie 1859[] La campagne d'Italie de 1859, aussi appelée guerre d'Italie de 1859, correspondant à la deuxième guerre d'indépendance italienne, voit s’affronter l’armée franco-piémontaise et celle de l’empire d'Autriche. L'Expédition du Mexique[] Article principal Intervention française au Mexique. L’intervention française au Mexique espagnol Segunda Intervención France sa en México est une expédition militaire française qui eut lieu de 1861 à 1867 et avait pour objectif de mettre en place au Mexique, un régime favorable aux intérêts français. La guerre franco-allemande 1870[] Parfois appelée guerre franco-prussienne, du 19 juillet 1870 au 29 janvier 1871, elle opposa le Second Empire français au royaume de Prusse et ses alliés allemands. La Première Guerre mondiale[] Embarquement d'un régiment de tirailleur à Alger en 1914 à destination de la France. Au cours de la Première Guerre mondiale, l’Armée d’Afrique envoie près de 300 000 soldats combattre en Europe 190 000 Maghrébins et 110 000 Européens et les unités d’Afrique du Nord participent à toutes les grandes opérations. Si ces effectifs peuvent sembler relativement peu importants par rapport au total des effectifs engagés, les troupes de l'Armée d'Afrique, européennes comme indigènes, comptent à leur actif bon nombre de faits d'armes particulièrement glorieux et leur rôle ne saurait être sous-estimé. Grâce à leur qualités guerrières, elles sont choisies pour participer aux combats les plus durs sur le front de France chaque fois que la situation l'exige[8]. Leur apport a notamment été très important dans les semaines décisives de septembre 1914 lors de la Bataille de la Marne[9]. Ainsi, à propos des faits d'armes de la Division marocaine[10] lors de cette bataille, le Maréchal Foch aurait dit La fortune a voulu que la Division Marocaine fût là ! »[11]. Il cite la division à l'ordre de l'Armée le 22 septembre 1914[12]. Quant à Adolphe Messimy, il écrit plus tard dans ses mémoires à propos de ces divisions d'Afrique du Nord[13], toutes origines confondues, ayant participé à cette victoire de la Marne Je laisse à ceux qui me liront le soin de réfléchir à ce qu'auraient été les événements, si Gallieni sur l'Ourcq et Foch aux marais de Saint-Gond, n'avaient pas eu à leur disposition ces troupes d'élite, pleine d'élan et fraîches, s'ils auraient pu remporter de justesse les deux succès qui décidèrent du sort de la bataille décisive… et de la France »[14]. Si quelques cas de panique sont signalés dans certains bataillons lors des premières semaines de combats, comme dans d'autres unités métropolitaines, par la suite, ces unités sont considérées à l'égale des meilleurs, et après Charleroi et la Marne, les Zouaves et les Tirailleurs, se sont illustrés dans toutes les principales batailles, en Champagne, à Verdun, dans la Somme et dans les offensives victorieuses finales[15]. Les pertes s’élèvent à environ 22 000 morts pour les Européens et 36 000 pour les Maghrébins[16]. La Division marocaine fut l'unité la plus décorée de la guerre. La Seconde Guerre mondiale[] Avant la guerre, l'Armée d'Afrique comporte environ 176 000 Indigènes et 73 000 Européens stationnés en Afrique du Nord, au Levant et en métropole. En 1939-1940, 302 000 hommes sont mobilisés[17]. Après le débarquement en Afrique du Nord, l'Armée d'Afrique, placée sous le commandement du général Giraud, reprend les combats aux côtés des Alliés pour chasser Allemands et Italiens de Tunisie. Giraud demande aux Américains et aux Britanniques de l'aide pour réarmer les troupes d'Afrique. Après la fusion du Commandement en chef français civil et militaire de Giraud et du Comité national français du général de Gaulle, et la création du Comité français de Libération nationale, les troupes d'Afrique sont fusionnés, le 1er août, avec les Forces françaises libres, pour donner naissance à ce qui prend le nom d'Armée française de la libération. En 1942-1945, après le réarmement par les Alliés de l'armée française en Afrique du Nord, près de 410 000 hommes 176 000 pieds noirs, dont une forte minorité de juifs séfarades issus des vingt-sept classes d'âge de 19 à 45 ans mobilisables, soit 16,40 % de la population, et 233 000 Maghrébins musulmans issus de quinze classes sont mobilisés. Ils représentent 75 % des effectifs de l'armée française de 1944. Le général Maurice Faivre, docteur en histoire et historien des armées, a estimé, en 2010, le nombre de tués Maghrébins des armées de la libération entre 1943 et 1945 à 18 300 et le nombre de tués parmi les Pieds-Noirs à 12 000 avec, en pourcentage, un taux de 10% pour les Pieds-Noirs et 6% pour les Maghrébins[18]. La Bataille de France 1939-40[] Article détaillé Bataille de France . En 1940, 80 000 hommes venant d'Afrique sont engagés dans les combats. 5 400 Indigènes et 2 700 Européens sont tués en mai-juin 1940[19]. Régiments de zouaves et de tirailleurs ayant combattu en France en mai-juin 1940 1er régiment de zouaves 3e régiment de zouaves 4e régiment de zouaves 8e régiment de zouaves 9e régiment de zouaves 11e régiment de zouaves 12e régiment de zouaves 13e régiment de zouaves 14e régiment de zouaves 6e régiment de tirailleurs algériens 11e régiment de tirailleurs algériens 13e régiment de tirailleurs algériens 14e régiment de tirailleurs algériens 15e régiment de tirailleurs algériens 17e régiment de tirailleurs algériens 18e régiment de tirailleurs algériens 19e régiment de tirailleurs algériens 21e régiment de tirailleurs algériens 22e régiment de tirailleurs algériens 23e régiment de tirailleurs algériens 25e régiment de tirailleurs algériens 27e régiment de tirailleurs algériens 31e régiment de tirailleurs algériens 4e régiment de tirailleurs tunisiens 8e régiment de tirailleurs tunisiens 20e régiment de tirailleurs tunisiens 24e régiment de tirailleurs tunisiens 28e régiment de tirailleurs tunisiens 1er régiment de tirailleurs marocains 2e régiment de tirailleurs marocains 3e régiment de tirailleurs marocains 4e régiment de tirailleurs marocains 5e régiment de tirailleurs marocains 6e régiment de tirailleurs marocains 7e régiment de tirailleurs marocains 8e régiment de tirailleurs marocains 9e régiment de tirailleurs marocains 10e régiment de tirailleurs marocains Tunisie 1942-43[] Article détaillé Campagne de Tunisie. Italie 1943-44[] Articles détaillés Corps expéditionnaire français en Italie et Bataille du Mont Cassin. France et Allemagne 1944-45[] En août 1944, l'Armée d'Afrique est articulée en deux grandes forces L'armée “A” comprenant la 1re DFL, la 2e DIM, la 3e DIA et la 4e DMM opérant en Italie sous les ordres du général Juin. L'armée “B” comprenant la 1re DB, la 2e DB en Angleterre depuis avril, la 5e DB et la 9e DIC en formation en AFN sous les ordres du général de Lattre de Tassigny. Articles détaillés Débarquement de Provence, Libération de Marseille et Libération de Toulon. À partir du 15 août 1944, 260 000 hommes de l'Armée B, nom de guerre de l'Armée d'Afrique, débarquent en Provence sous les ordres du général de Lattre de Tassigny. Cette armée est composée pour 82 % de soldats provenant d'unités de l'Armée d'Afrique 50 % de Maghrébins et de 32 % de Pieds-Noirs, de 10 % d'Africains noirs et de 8 % de Français de métropole. La moitié des effectifs de la 2e division blindée 2e DB qui libère Paris en août 1944, aux côtés des FFI, soit 7 000 hommes, proviennent d'unités de l'Armée d'Afrique[20]. En 2010, le Président Nicolas Sarkozy rendra hommage aux troupes coloniales, lors de la commémoration du Débarquement de Provence. La guerre d'Indochine[] Article principal Guerre d'Indochine. Ce conflit armé s’est déroulé de 1946 à 1954 en Indochine française, et a abouti à la fin de cette fédération ainsi qu’à la sortie de l’Empire colonial français des pays la composant. La guerre d'Algérie[] Article principal Guerre d'Algérie. Conflit qui commence en 1945, puis se déroule de 1954 à 1962, principalement sur le territoire des départements français d'Algérie, avec également des répercussions en France métropolitaine. Cette guerre oppose l'État français à des indépendantistes algériens, principalement réunis sous la bannière du Front de libération nationale FLN. Décorations des régiments[] Les régiments de l'Armée d'Afrique sont les plus décorées de l'Armée française. Pour les décorations et les citations, les tirailleurs et les zouaves viennent juste après les deux régiments les plus décorés de l'armée française le Régiment d'infanterie-chars de marine RICM, appartenant aux troupes coloniales, et le Régiment de marche de la Légion étrangère[21]. Sur les 34 drapeaux d'Infanterie décorés de la Légion d'honneur, 15 sont de l'Armée d'Afrique[4]. Sur 4 drapeaux d'Infanterie décorés à la fois de la Légion d'honneur et de la Médaille militaire, 3 sont de l'Armée d'Afrique Régiment de marche de la Légion étrangère, 2e et 3e Zouaves[22],[23],[24]. Durant la Première Guerre mondiale, les faits d'armes des fantassins de l'Armée d'Afrique leur valurent les plus hautes distinctions. Légionnaires, Zouaves et Tirailleurs obtiennent la moitié des plus hautes distinctions décernées Drapeaux décorés de la Légion d'honneur ou de la Médaille militaire et fourragères rouges à la couleur de la Légion d'Honneur alors que leurs effectifs au combat ne représentent à la fin de la guerre qu'environ 5 % du total des combattants[25]. Sur 19 régiments d’infanterie de l’Armée française dont le drapeau est décoré de la Légion d’honneur ou de la médaille militaire au cours de la guerre, on compte 9 régiments d’Afrique du Nord 1 de la Légion, 4 de tirailleurs et 4 de zouaves[26]. Sur les 17 régiments de l'armée de terre[27] qui reçurent la fourragère à la couleur de la Légion d'honneur au moins 6 citations à l'ordre de l'Armée, 9 sont de l'Armée d'Afrique[28]. Le 1er régiment de spahis marocains est le régiment de cavalerie le plus décoré de l’armée française. Son étendard est le seul des emblèmes des unités de cavalerie à être décoré de la fourragère aux couleurs de la Médaille militaire[29]. Durant la Seconde Guerre mondiale, sur 36 régiments d'infanterie qui reçurent la fourragère au moins 2 citations à l'ordre de l'Armée, 21 sont de l'Armée d'Afrique dont 14 régiments de Tirailleurs marocains, algériens, tunisiens et Tabors et sur les 19 régiments de l'Armée blindée et Cavalerie ayant ces fourragères, 10 sont de l'Armée d'Afrique[5]. Les RMLE, 4e RTT et 7e RTA ont été cités au moins 10 fois à l'ordre de l'Armée de 1914 à 1945[5]. Il n’y a pas de liaison directe entre le port d’une fourragère et l’attribution au drapeau de la décoration correspondante, car, c’est uniquement le nombre de citations à l’ordre de l’Armée qui est pris en compte pour l’attribution de la fourragère à une unité. Drapeaux[] Drapeaux décorés de la Médaille militaire 2e régiment de tirailleurs algériens 05/07/1919 3e régiment de zouaves 05/07/1919 Régiment de marche de la Légion étrangère 26/08/1919 Drapeaux décorés de la Légion d'honneur Régiment de marche de la Légion étrangère 04/12/1917 1er régiment de chasseurs d’Afrique 09/11/1863 1er régiment de tirailleurs marocains 11/05/1949 1er régiment de tirailleurs algériens 15/10/1948 2e régiment de tirailleurs algériens 24/03/1902 2e régiment de zouaves 20/06/1859 3e régiment de tirailleurs algériens 11/11/1863 3e régiment de zouaves 09/11/1863 4e régiment de tirailleurs tunisiens 05/07/1919 4e régiment mixte de zouaves et de tirailleurs 05/07/1919 4e régiment de zouaves 05/07/1919 7e régiment de tirailleurs algériens 05/07/1919 8e régiment de zouaves 05/07/1919 9e régiment de zouaves 05/07/1919 Goum Marocains 09/07/1952 Fourragères[] Première Guerre mondiale[] Fourragère aux couleurs du ruban de la Légion d’honneur et du ruban de la Croix de Guerre 1914-1918 au moins 9 citations à l'ordre de l'Armée Régiment de marche de la Légion étrangère Fourragère aux couleurs du ruban de la Légion d’honneur 6-8 citations à l'ordre de l'Armée 2e régiment de tirailleurs algériens 3e régiment de zouaves 4e régiment de zouaves 4e régiment de tirailleurs tunisiens 4e régiment mixte de zouaves et de tirailleurs futur 16e 7e régiment de tirailleurs algériens 8e régiment de zouaves 9e régiment de zouaves Fourragère aux couleurs du ruban de la Médaille militaire 4-5 citations à l'ordre de l'Armée 1er régiment de zouaves 1er régiment de tirailleurs algériens 1er régiment de tirailleurs marocains 1er régiment mixte de zouaves et de tirailleurs 2e régiment de zouaves 3e régiment bis de zouaves 8e régiment de tirailleurs tunisiens 13e régiment de tirailleurs algériens Régiment de spahis marocains Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre 1914-1918 2-3 citations à l'ordre de l'Armée Plus de dix régiments Seconde Guerre mondiale[] Fourragère de l'Ordre de la Libération 1er régiment de marche de Spahis marocains 13e demi-brigade de Légion étrangère Fourragère avec olive aux couleurs du ruban de la Médaille Militaire et de la Croix de guerre 1939-1945 4-5 citations à l'ordre de l'Armée 3e régiment de tirailleurs algériens 4e régiment de tirailleurs tunisiens 2e groupement de tabors marocains 13e demi-brigade de Légion étrangère Fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de Guerre 1939-1945 2-3 citations à l'ordre de l'Armée 7e régiment de tirailleurs algériens 1er groupement de tabors marocains 3e groupement de tabors marocains 4e groupement de tabors marocains 1er régiment de tirailleurs marocains 2e régiment de tirailleurs marocains 4e régiment de tirailleurs marocains 5e régiment de tirailleurs marocains 6e régiment de tirailleurs marocains 7e régiment de tirailleurs marocains 8e régiment de tirailleurs marocains 4e régiment de zouaves 4e RZ 3e bataillon de zouaves portés 3e BZP Citations collectives[] Le 5 juillet 1919, un décret du président de la République Raymond Poincaré, attribue la Légion d'honneur ou la Médaille militaire pour ceux étant déjà décorés de la Légion d'honneur aux drapeaux de 14 régiments[30] qui se sont illustrés au cours de la Première Guerre mondiale, sur plusieurs centaines ayant servi. On dénombre parmi eux quatre régiments de zouaves 3e, 4e, 8e et 9e, trois de tirailleurs 2e, 4e et 7e et un mixte zouaves-tirailleurs 4e sur un total de vingt-cinq régiments de zouaves ou tirailleurs en activité au 11 novembre 1918[31]. Citations militaires du Décret du 5 juillet 1919 Première Guerre mondiale Régiment d'élite, qui a surpassé au cours de la campagne les plus glorieuses traditions d'une histoire qui lui avait déjà valu la croix de la Légion d'honneur et de la valeur militaire italienne. Jeté dans la bataille, le 23 août 1914, sur la Sambre, il fait énergiquement tête à l'ennemi, le 23, à Mettet et à Wagnée, le 29, à Guise. Les 15, 16, 17 septembre, après la brillante défense des bois de Cuts et de Caisnes, il marque à Tracy-le-Val et au bois Saint-Mard le terme définitif de l'offensive des armées allemandes sur la route de Noyon à Paris et s'empare, le 19. du drapeau allemand du 85e régiment d'infanterie bavarois. Le 28 septembre 1915, il prend part à la bataille de Champagne dans un élan magnifique au cours duquel son propre drapeau tombe et est relevé plus de vingt fois. Il attache ensuite son nom, pendant deux années consécutives, à l'héroïque défense de Verdun. Les 23, 24 et 25 février, à Louvemont et à la côte du Poivre, d'avril à juillet, au bois d'Avocourt, il contient l'ennemi. Le 15 juillet, il engage, devant Fleury ; la magnifique contre-offensive qui se poursuivit ensuite sans arrêt jusqu'au 15 décembre 1916, date à laquelle, dans un élan splendide, il rejette définitivement l'ennemi dans la Woevre et au delà de Bezonveaux. Après avoir combattu glorieusement, le 16 avril 1917, en Champagne, il termine la brillante série de ces combats, devant Verdun, par l'enlèvement de la cote 344, le 25 novembre 1917. Porté devant Amiens en avril 1918, il tient tête à l'ennemi, reprenant le terrain pied à pied, pendant trois mois. Enfin, les 8, 9 et 10 août, bousculant l'ennemi dans une course ardente de 20 kilomètres, il ouvre la route de Roye; amené sur la Divette il s'empare de Noyon, Chauny, Tergnier, déployant dans une poursuite acharnée ses brillantes qualités d'endurance et de ténacité. A peine retiré de ces combats, il est reporté de nouveau sur la Serre et continue la poursuite en direction d'Hirson et de la Belgique où il s'arrête, le 11 novembre, aux portes de Couvin, capturant, au cours de cette merveilleuse épopée 74 canons dont sa lourds, plus de 1 500 prisonniers et un important matériel de guerre. » — Décret du 5 juillet 1919 portant attribution de la croix de chevalier de la Médaille militaire au drapeau du 3e RMZ - Président de la République Magnifique régiment animé de toutes les vertus guerrières qui a généreusement versé son sang sur les principaux champs de bataille de la grande guerre et a connu le succès chaque fois qu'il a fait revivre en l'ennoblissant encore par la constance et la ténacité de ses efforts, la tradition des Zouaves de Crimée, d'Italie, du Frœschwiller. A participé aux batailles les plus importantes de la campagne 1914-1918, s'est couvert de gloire sur la Marne et sur l'Yser en 1915, a arraché la victoire à Douaumont 24 octobre 1916, Louvemont 15 décembre 1916, Hurtebise 24 avril 1917, La Malmaison 23 octobre 1917, Longpont 18 juillet 1918, sur l'Oise 2 août au 4 septembre 1918 et en donnant tout entier et à fond, a arrêté net la ruée déjà victorieuse de l'ennemi à Orvillers-Sorel 28 mars au 1er avril 1918 et à Carlepont 29 mai au 5 juin 1918. » — Décret du 5 juillet 1919 portant attribution de la croix de chevalier de la Légion d'honneur au drapeau du 4e RMZ - Président de la République[32] Régiment superbe d'héroïsme et de vaillance qui, pendant quatre ans de guerre, sans jamais faiblir, a dressé devant l'envahisseur la foi sacrée d'une troupe qui sait mourir pour la défense de son sol. Entré le 28 août 1914 en contact de l'ennemi, ils manœuvrent en retraite sans faiblir jusqu'au 8 septembre ou les zouaves s'arrêtent et font face. Au château de Mondement et dans les marais de Saint-Gond, ils battent la garde prussienne. Beaux de dévouement, de courage et de sacrifice, ils dressent, dans la boue de Belgique, à Boesinghe et à Nieuport, le mur inébranlable de leurs poitrines. Le 9 mai, le 16 juin et le 25 septembre 1915, sous les ordres du lieutenant-colonel Modelon, ils se lancent à l'attaque de la crête de Vimy et de la butte de Souain. Le 9 juillet 1916, ils se sacrifient et meurent sur les fils de fer de Barleux. Puis, sous les ordres de lieutenant-colonel Lagarde, ils s'emparent, le 17 avril 1917, du Mont-Sans-Nom, réputé imprenable. Le 20 août, ils éloignent à jamais le Boche de Verdun, la citadelle inviolée. L'année 1918 les trouve prêt encore à toutes les audaces et à tous les sacrifices; le 26 avril, ils attaquent Villers-Bretonneux et barrent la route d'Amiens. Les 29 at 30 mai, alors que menaçant et terrible monte le flot ennemi, ils accourent, se sacrifient héroïquement pour défendre la route de Soissons à Paris. Ils sont encore debout, le 18 juillet, pour pousser de l'avant et chasser l'ennemi de Chaudun et de Charantigny. Et c'est en vain que, du 28 août au 15 septembre, l'ennemi essayera de s'accrocher aux falaises de l'Aisne, de tenir Neuville-sur-Margival et le ravin de Vauxaillon, la fougue impétueuse de ceux qui, par sept fois déjà , les ont vaincus, commencera leur défaite. » — Décret du 5 juillet 1919 portant attribution de la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur au Drapeau du 8e RMZ - Le Président de la République Régiment d'élite. Engagé dans les plus durs combats. À chaque fois fait preuve de magnifiques vertus guerrières. S'affirme dès le début troupe de premier ordre à Carlepont, dans la région de Compiègne; se distingue de nouveau sur l'Yser, en Artois et à Maisons-de-Champagne. Montre, à Verdun, dans une défense opiniâtre, de superbes qualités de dévouement, de ténacité et d'abnégation. Va chercher de nouveaux lauriers sur les lignes d'Hardecourt et de Maurepas, prend une part glorieuse à l'attaque du chemin des Dames et aux opérations du printemps 1918. Dans l’offensive finale, provoque l'admiration de tous par sa fougue indomptable, bousculant l'ennemi partout où il le rencontre. Insoucieux de ses pertes, puise dans chaque combat une ardeur nouvelle, se couvrant d'une gloire immortelle à Coeuvres, Vauxbuin, Soissons, au bois de Moreuil, à Villers-les-Royes, à Hangest-en-Santerre, Erches et Andéchy, sur la Vesles et sur l'Aisne, à Berry-au-Bac, Romains, Ventelay et Guyencourt, et enfin, à Villers-le-Sec et à Parpeville, à la Ferme Villancey, à Landifay et Berlegnement. » — Décret du 5 juillet 1919 portant attribution de la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur au Drapeau du 9e RMZ - Le Président de la République Héroïque régiment qui a surpassé, au cours de la campagne, les plus glorieuses traditions d'une histoire qui lui avait déjà valu la croix de la Légion d'honneur. Engagé à fond, dès le 22 août 1914, sur la Sambre, il fait énergiquement tête à l'ennemi, le 23 à Oret, le 24 à Florennes et le 29 à Guise, où il enlève à la baïonnette la ferme de Bertaignemont. Les 15, 16 et 17 septembre, après l'héroïque résistance de Cuts Oise, il marque, à Tracy-le-Mont et à Quennevières, le terme définitif de l'offensive des armées allemandes sur la route de Noyon à Paris. Le 25 septembre 1915, il prend, à la bataille de Champagne, une part des plus glorieuse, attache ensuite son nom à la défense de Verdun, où il déploie pendant deux années consécutives, ses plus belles qualités militaires inébranlable dans le sacrifice, irrésistible dans l'attaque. Héroïquement, il arrête la ruée allemande à Louvemont les 23, 24 et 25 février 1916, et à Avocourt, d'avril à juillet. Le 15 juillet, il engage, devant Fleury, la magnifique contre-offensive qui se poursuivra ensuite sans arrêt jusqu'au 15 décembre 1916, date à laquelle dans un élan splendide, il rejette définitivement l'ennemi en Woëvre, au-delà du Bois la Chaume. Après avoir cueilli une nouvelle palme, le 16 avril 1917, devant Brimont, il termine la brillante série de ses combats devant Verdun par l'enlèvement de la côte 344, le 25 novembre 1917. Porté devant Amiens en avril 1918, il contient l'ennemi, reprenant le terrain perdu pied à pied pendant trois mois. Enfin, les 8, 9 et 10 août, il brise le front allemand en enlevant le bois de Moreuil, le Plessier, Guerbigny, dans une course de 22 kilomètres qui ouvre la route de Roye. Transporté sur la Divette, il s'empare de vive force de Noyon, Chauny, Tergnier, bouscule l'ennemi dans une poursuite ardent jusqu'aux portes de La Fère. À peine retiré des combats, il est reporté de nouveau sur la Serre et continue la poursuite en direction d'Hirson et de la Belgique où il s'arrête le 11 novembre, à Baileux, capturant, au cours de cette magnifique épopée, 73 canons dont 19 lourds, plus de 1000 prisonniers et un énorme matériel de guerre. » — Décret du 5 juillet 1919 portant attribution de la Médaille militaire au Drapeau du 2e RMT Drapeau glorieux. A flotté sur tous les champs de bataille de la Grande Guerre. Le 23 août 1914, à Hanzinelle, en Belgique, le 30 août à Ribemont et Villers-le-Sec, les tirailleurs brisent l'ennemi. Du 6 au 13 septembre 1914, ils poursuivent l'adversaire jusqu'au chemin des Dames. Le 16 juin 1915, en Artois, ils enlèvent près du Cabaret Rouge quatre lignes de tranchées ; en Champagne, le 25 septembre 1915, ils prennent le Bois Sabot. Le 17 avril 1917, le régiment attaque près d'Auberive, atteignant tous ses objectifs ; le 20 août 1917, à Verdun, il emporte la Côte de l'Oie et le Bois de Cumières. Le 12 juin 1918, près de Soissons, il résiste héroïquement à la poussée de l'ennemi, maintenant intégralement toutes ses positions. Du 30 août au 3 septembre 1918, sur l'Ailette, il pénètre dans des positions défendues désespérément et force l'ennemi à la retraite. Les 26, 27, 28 et 29 septembre, il contribue à l'enlèvement de la butte du Mesnil, passe la Dormoise, s'empare du plateau de Grateuil, franchit l'Alin et prend pied sur les pentes du sud du massif de Marvaux. Au cours de ces actions, le drapeau du 4e régiment de marche de tirailleurs indigènes conquiert la fourragère aux couleurs de la Légion d'honneur ; il est glorieusement blessé le 18 septembre 1914 à Paissy, par éclat d'obus. » — Décret du 5 juillet 1919 portant attribution de la croix de chevalier de la Légion d'honneur au Drapeau 4e RMT - Le président de la République Digne héritier des Turcos de Wissembourg et Frœschwiller, unissant sous son Drapeau les fils de l'Algérie, de la Tunisie et du Maroc, image vivante de l'Afrique du Nord, venus se donner corps et âme à la mère Patrie. En août 1914, aussitôt débarqués et lancés dans la bataille, les tirailleurs, sous les ordres du Lieutenant-colonel Cros, retardent pied à pied la marche de l'envahisseur à la Fosse à l'eau, Bertoncourt, Ablancourt. En septembre, ils rejettent la Garde Impériale dans les marais de Saint-Gond, puis écrasent l'ennemi, contraint à la retraite, sous les murs du château de Mondement. Le 9 mai 1915, en Artois, sous les ordres du lieutenant-colonel Demetz, ils s'emparent de la Cote 140 et le 25 septembre, en Champagne, enlèvent brillamment les ouvrages ennemis au nord de Souain. Le 11 juillet 1916, dans la Somme, ils se distinguent encore devant Belloy-en-Santerre. En Champagne, le 17 avril 1917, ils s'emparent des formidables positions du mont Sans-Nom sous les ordres du lieutenant-colonel Schultz qui, à Verdun, le 20 août les lance à l'assaut des puissantes organisations fortifiées qu'ils réduisent, en faisant 1 100 prisonniers. Au cours de l'épopée sublime de 1918, devant Villers-Bretonneux, ils enlèvent, le 26 avril 1918, sous les ordres du Lieutenant-colonel Schultz les positions de Cachy. Dans l'Aisne, le 18 juillet, sous les ordres du lieutenant-colonel Mensier, ils percent les lignes ennemies, progressent de 11 kilomètres et font un grand nombre de prisonniers sur le même terrain où, les 29 et 30 mai, ils avaient soutenu des combats acharnés pour arrêter la marche de l'ennemi vers Compiègne. Du 2 au 16 septembre, sous le même commandement, à Sorny et à Vauxaillon, ils bousculent dans des conditions exceptionnellement dures, sur la ligne Hindenburg, les régiments allemands les plus réputés et progressent de plus de 7 kilomètres, préparent ainsi par leur héroïsme la marche sur Laon et la grande victoire. » — Décret du 5 juillet 1919 portant attribution de la croix de chevalier de la Légion d'honneur au Drapeau du 7e RMT - Le président de la République Régiment héroïque, qui créé au début de la guerre, s'est montré, dès ses premières batailles, le digne et valeureux descendants des vieux régiments de zouaves et de tirailleurs dont il a prolongé la tradition. A derrière lui un passé déjà chargé de gloire. S'est toujours signalé par une inébranlable ténacité et par sa ferme volonté, d'aller, s'il fallait, jusqu'au sacrifice total. Après avoir glorieusement combattu à Lassigny, en 1914, et à Ypres, en 1915, a brillamment vaincu l'ennemi à Douaumont 24 octobre 1916, à Louvemont 15 décembre 1916, à La Malmaison 23 octobre 1917, à Longpont 18 juillet 1918 et sur l'Oise 20 août-4 septembre 1918. Par deux fois, a arrêté la ruée déjà victorieuse de l'ennemi, à Roye-sur-Matz 30 mars 1918 et à Carlepont 29 mai-5 juin 1918. » — Décret du 5 juillet 1919 portant attribution de la croix de chevalier de la Légion d'honneur au Drapeau 4e RMZT futur 16e RMT- Le président de la République Hommages[] Les pertes françaises du 8 novembre 1942 à la fin des hostilités, en mai 1945, s'élèvent à 110 000 hommes dont 30 000 tués ou disparus. Et tout le poids, ou du moins le plus lourd, de ces lourdes pertes, retombe sur cette population nord-africaine, française et musulmane côte à côte, à qui est due, nul ne doit l'oublier, pour la plus large part, la libération du sol national. » — Revue politique et parlementaire 1947[33] Formations héritières des traditions de l’armée d’Afrique[] unités de la Légion étrangère 1er régiment de tirailleurs, Epinal 1er régiment de spahis, Valence 1er régiment de chasseurs d’Afrique, Canjuers 40e régiment d’artillerie, Suippes 54e régiment d’artillerie, Hyères 68e régiment d’artillerie d’Afrique, La Valbonne 31e régiment du génie, Castelsarrasin 41e régiment de transmissions, Douai 511e régiment du train, Auxonne 515e régiment du train, La Braconne 516e régiment du train, Toul Notes et références[] ↑ "Toute unité, formation ou organisme de l’Armée de Terre française issue des territoires d’Afrique du Nord Algérie, Tunisie, Maroc ou ayant combattu, à un titre ou à un autre, sur ces mêmes territoires depuis cette date est considéré comme ayant appartenu à l'Armée d'Afrique née en 1831", Association Nationale du Souvenir de l'Armée d'Afrique ↑ 2,0 et 2,1 Anthony Clayton, Histoire de l'Armée française en Afrique 1830-1962, Albin Michel, 1994, p. 21 ↑ Les troupes d'Afrique du Nord, associant Européens et musulmans en proportion équivalente, ont gagné sans doute leurs plus beaux titres de gloire au cours des campagnes successives de Tunisie, d'Italie, de France et d'Allemagne, sous les ordres de Juin, de Lattre et Leclerc. Le terme d'armée d'Afrique, bien que non officiel, leur restera attaché, au moins, pour ce qui est du corps expéditionnaire français CEF d'Italie et de l'armée B, devenue 1ere Armée française », Jacques Frémeaux, La France et l'Algérie en guerre 1830-1870, 1954-1962, Commission française d'histoire militaire, 2002, p. 116 ↑ 4,0 et 4,1 Légion d'Honneur, ↑ 5,0 5,1 et 5,2 Fourragères, ↑ Anthony Clayton, Histoire de l’Armée française en Afrique 1830-1962, Albin Michel, 1994, p. 20. ↑ Anthony Clayton, Histoire de l’Armée française en Afrique 1830-1962, Albin Michel, 1994, p. 484 ↑ Anthony Clayton, Histoire de l'Armée française en Afrique 1830-1962, Albin Michel, 1994, p. 126 ↑ Jacques Frémeaux, op. cit., p. 115-117 ↑ composée non de Marocains lors de la bataille de la Marne mais de 6 bataillons de Tirailleurs algériens et tunisien, 4 bataillons de Zouaves, et 3 bataillons de coloniaux, Anthony Clayton, Histoire de l'Armée française en Afrique 1830-1962, Albin Michel, 1994, p. 126 ↑ Pages de gloire de la Division marocaine, 1914-1918 sur Gallica, p. 14 ↑ Le général commandant la IXe Armée cite à l'ordre de l'armée la 1re Division du Maroc, commandée par le général Humbert pour la vaillance, l'énergie, la ténacité dont elle a fait preuve aux combats de la Fosse-à -l'Eau le 28 août et dans les journées des 6, 7, 8 et 9 septembre à Montdement, Montgivroux, Saint-Prix. Les résultats obtenus, comme aussi les pertes cruelles mais glorieuses qu'elle a subies, en témoignent. Tous, zouaves, coloniaux, tirailleurs indigènes ont fait d'une façon admirable leur devoir », Ordre Général no 11 dû 22 septembre 1914 de la IXe Armée, Maréchal Foch ↑ 2 divisions d'Afrique du Nord la Division Marocaine aux marais de Saint-Gond et la 45e division d'infanterie sur l'Ourcq ↑ Adolphe Messimy, Mes souvenirs, Librairie Plon, 1937, p. 178 ↑ Lieutenant-Colonel Gelez, Les tirailleurs algériens in La Revue des Deux-Mondes, no 5-8, 1951, p. 180 ↑ Jacques Frémeaux, Les colonies dans la grande guerre, 14-18 Éditions, 2006, p. 202 ↑ La France, l'Empire et la guerre in Histoires de la Dernière Guerre, avril 2010, no 4 ↑ Maurice Faivre, L'Armée d'Afrique et l'armée coloniale des origines à 1962, Revue l’Algérianiste no 131, septembre 2010 ↑ La France, l'Empire et la guerre » in Histoires de la Dernière Guerre, avril 2010, no 4 ↑ 4 000 FFL vétérans du Tchad et de la "colonne volante", 2 500 évadés par l'Espagne et 7 000 hommes des unités d'Afrique », Jean-François Muracciole, Les Français libres L'autre Résistance, Tallandier, 2009 ↑ Les troupes coloniales dans la Grande Guerre actes du colloque organisé pour le 80e anniversaire de la bataille de Verdun, IHCC-CNSV, 1997, p. 90 ↑ 2e régiment de tirailleurs algériens, Régiment de marche de la Légion étrangère RMLE, Régiment d’infanterie coloniale du Maroc RICM, 3e régiment de Zouaves ↑ La Médaille Militaire, site ↑ La Légion d'Honneur, site ↑ Il n’y a pas de liaison directe entre le port d’une fourragère et l’attribution au drapeau de la décoration correspondante car c’est uniquement le nombre de citations à l’ordre de l’Armée qui est pris en compte pour l’attribution de la fourragère à une unité ↑ Le 5 juillet 1919, un décret du Président de la République Raymond Poincaré, attribue la Légion d'honneur ou la Médaille militaire, pour ceux étant déjà décorés de la Légion d'Honneur aux drapeaux de 14 régiments 23e RI, 26e RI, 152e RI, 153e RI, 3e Zouaves, 4e Zouaves, 8e Zouaves, 9e Zouaves, 2e RTA, 4e RTT, 7e RTA, 4e mixte Zouaves-Tirailleurs 16e RTT, 43e RIC, RICM qui se sont illustrés au cours de la guerre. Au total 19 drapeaux de l'Armée de Terre ont été décorés de la Légion d'Honneur ou de la Médaille Militaire pour la période 1914-1918, Bulletin des lois de la République française, Imprimerie Royale, 1919, p. 2023-2035 ↑ 17 régiments et 6 bataillons ↑ Au total environ 815 régiments de toutes les armes ont été engagés par la France au cours de la Première Guerre mondiale et seuls 17 régiments et 6 bataillons reçurent la fourragére aux couleurs de la Légion d'Honneur au moins 6 citations à l'ordre de l'Armée ↑ Jacques Frémeaux, Les colonies dans la Grande Guerre, Éditions 14-18, 2004, p. 190 ↑ 23e RI, 26e RI, 152e RI, 153e RI, 3e Zouaves, 4e Zouaves, 8e Zouaves, 9e Zouaves, 2e Tirailleurs, 3e Tirailleurs, 4e Tirailleurs, 4e Mixte Zouaves Tirailleurs, 43e RIC, RICM. Au total 19 drapeaux de l'Armée de Terre ont été décorés de la Légion d'honneur ou de la médaille militaire pour la période 1914-1918 ↑ Bulletin des lois de la République française, Imprimerie royale, 1919, p. 2023-2035 ↑ Le 4e zouaves avait perdu 9 351 officiers, sous-officiers et soldats pendant la guerre 1914-1918 ↑ Armée d'Afrique in Revue politique et parlementaire, Armand Colin, 1947, Sources et bibliographie[] Anthony Clayton, Histoire de l'Armée française en Afrique 1830-1962, Albin Michel, 1994 Robert Huré, L'Armée d'Afrique 1830-1962, Charles-Lavauzelle, 1977 Dominique Lormier, C'est nous les Africains, Calmann-Levy, 2006 Les Africains, Historama, hors-série no 10, 1970 Voir aussi[] Articles connexes[] Généralités[] Corps expéditionnaire français en Italie Tirailleurs algériens Zouaves Le Chant des Africains Empire colonial français Division marocaine Liste des régiments français les plus décorés Crimes de 1944 en Ciociarie Militaires[] Louis Franchet d'Espèrey Alphonse Juin Augustin Guillaume Joseph de Goislard de Monsabert Liens externes[] Les troupes coloniales dans la Grande Guerre - L’Armée d’Afrique, par Léon Rodier L'Armée d'Afrique 1830-1960, Les Africains, Historama hors-série, no 10, 1970 Aperçu d'histoire de l'Armée d'Afrique, par le Général Bertrand Dupont de Dinechin Les Fourragères rouges à la couleur de la Légion d'honneur décernées en 1914-1918, supplément du journal L'Illustration, 1919 v d mEmpire colonial français et territoires d’outre-mer Afrique Afrique française du Nord AFN Algérie Maroc Tunisie Afrique-Occidentale française AOF Côte d’Ivoire Dahomey Guinée Haute-Volta Mauritanie Niger Sénégal Soudan français Afrique-Équatoriale française AEF Gabon Moyen-Congo Oubangui-Chari Côte française des Somalis Tchad Protectorats et autres Cameroun Togo Gambie Albreda - Île James Faits historiques Armée d’Afrique créée en 1830 Conquête de l’Algérie 1830-1847 Spahis 1831-1962 Tirailleurs algériens 1842-1964 Tirailleurs sénégalais 1857-1960 Conquête de la Tunisie 1881 Première Guerre du Dahomey 1890 Seconde Guerre du Dahomey 1892-1894 Mission Voulet-Chanoine 1899 Mission Joalland-Meynier 1899-1900 Goumiers marocains 1908-1956 Tirailleurs marocains 1915-1956 Guerre du Rif 1921-1926 Situation politique en Afrique française libérée 1942-1943 Massacres de Sétif, Guelma et Kherrata 1945 Guerre d’Algérie 1954-1962 Océan Indien Comores Protectorat d'Anjouan Protectorat de Grande Comore Protectorat deMohéli Protectorat de Mayotte et dépendances puis colonie de Madagascar, puis Territoire des Comores Mascareignes Île de France Maurice Seychelles La Réunion Île Bourbon Madagascar Fort-Dauphin Protectorat de Madagascar puis Colonie de Madagascar Canal du Mozambique Îles Éparses de l'océan Indien TAAF Europa, Bassas da India, Juan de Nova, Glorieuses et Tromelin Sud de l’océan Indien Archipel des Kerguelen TAAF Archipel des Crozet TAAF Îles Saint-Paul et Nouvelle-Amsterdam TAAF Faits historiques Première expédition de Madagascar 1881-1882 Première guerre franco-malgache 1883-1885 Seconde expédition de Madagascar 1894-1895 Insurrection malgache de 1947 Amérique Nouvelle-France Acadie Canada Louisiane Québec Terre-Neuve Saint-Pierre-et-Miquelon Antilles françaises Berbice Dominique Guadeloupe Haïti Martinique Sainte-Lucie Tobago Îles Vierges Amérique du Sud France antarctique France équinoxiale Guyane Inini Faits historiques Guerre de la Conquête 1754-1760 Révolution haïtienne 1791-1804 Asie Moyen-Orient Syrie dont Territoire Alaouite, province du Hatay et Grand Liban Établissements français de l’Inde Chandernagor Yanaon Côte de Coromandel Pondichéry, Kârikâl et Madras Côte de Malabar Mahé Comptoirs chinois Concession française de Shanghai Kouang-Tchéou-Wan Concession française d'Hankou Union indochinoise Annam Cochinchine Tonkin État du Viêt Nam en 1949 Cambodge Laos Faits historiques Campagne de Cochinchine 1858-1862 Tirailleurs indochinois 1880-1945 Guerre franco-chinoise 1881-1885 Expédition du Tonkin 1883-1885 Famine de 1945 au Viêt Nam Guerre d’Indochine 1946-1954 Océanie,océan Pacifiqueet Antarctique Océanie Nouvelle-Calédonie Nouvelles-Hébrides Vanuatu Océan Pacifique Wallis-et-Futuna Polynésie française Île de Clipperton Antarctique La Terre-Adélie TAAF Voir aussi Premier empire colonial français Second empire colonial français Guerre de Sept Ans 1754/1756-1763 Idéologie coloniale française Troupes coloniales Exposition coloniale de 1931 Histoire de l'Empire colonial français pendant la Seconde Guerre mondiale Conférence de Brazzaville 1944 Union française Communauté française Territoire d’outre-mer Collectivité d’outre-mer Société coloniale des artistes français La catégorie Histoire coloniale de la France Erreur Lua dans ModuleCatégorisation_badges à la ligne 154 attempt to index field 'wikibase' a nil value.
La question est moins tautologique qu’il n’y paraît. Chacun sait ce qu’on appelle un nom anglo-saxon Ronald Reagan, Bill Clinton, Johnny Hallyday. On peut facilement croiser Dick Rivers à Nice, mais sur le sol américain, la plupart des Américains ont un nom américain. Voici les patronymes dans l’ordre. Smith, Johnson, Williams, Jones, Brown, Davis, Miller, Wilson, Moore, Taylor, Anderson, Thomas, Jackson, White, Harris, Martin, Thompson. Il faut attendre la 18eme place pour trouver le premier nom avec une consonance qui ne soit pas anglo-saxonne Garcia. Pourquoi est-ce étonnant ? Vous allez me dire qu’au Japon, tous les gens portent des noms japonais. Certes, mais les Etats-Unis sont un pays d’immigration. Et les anglophones n'ont certainement pas représenté la moitié des immigrants. Aux XVIIIe et XIXeme siècle, il en arrivait non seulement d’Angleterre, d’Ecosse, ou d’Irlande, mais aussi de Pologne, d’Allemagne, de Roumanie, de Russie, de France également, beaucoup de Hollande, de Hongrie, d’Espagne ou d’Italie… Les anglo-saxons étaient-ils plus féconds que le reste du monde ? Pas du tout. L’explication est non pas démographique, mais administrative. Au XIX° siècle, au moment de l’immigration massive, dans les ports de New-York, Boston ou Philadelphie, à peine les immigrants étaient descendus du bateau qu’un officier d’immigration leur faisait prendre un patronyme à consonance anglaise. Condition sine qua non pour pouvoir s’installer sur le sol américain. Sans parler des esclaves venus d’Afrique, qu’on a privé de leur nom véritable, pour leur donner une nouvelle identité. C’est la raison pour laquelle Mohamed Ali, le plus grand boxeur de tous les temps a décidé de changer son nom. Au delà même de l’aspect religieux. Il s’appelait Cassius Clay. Mais il se doutait bien que ses arrière-arrière-grands-parents, esclaves venus d’Afrique, ne s’appelaient pas Monsieur et Madame Clay en anglais, Clay signifie "argile" ou "terre glaise". On raconte l’histoire d’un vieux Juif venu d’Europe centrale qui se demandait quel nom choisir. Des amis lui avaient conseillé Rockfeller, pour toutes sortes de raisons, et ça lui avait plu. Mais au moment où il débarque devant l’officier d’immigration avec son gros registre, il a complètement oublié le nom qu’il devait prendre. Alors il dit en yiddish “j’ai oublié”. C’est à dire “Shon vergessen”. Et le fonctionnaire a noté sur son carnet John Vergusson. Pourquoi je vous raconte cette anecdote ? J’ai oublié. Jusqu’à preuve du contraire.
je transfère le post et comme tu le dit ténardier il n'était pas a sa place Re Sidi Bel Abbes par tenardier Hier à 1454je sais que ca n'a rien avoir mais j'ai pas pu m'empecher, trop de souvenirs!!!![url= y a jamais de boudin pour les belges ? sont sympas les belgestenardier Messages 44Date d'inscription 06/04/2010Age 44Localisation Digne les bains par tenardier Hier à 1459C'est nous les descendants des régiments d'AfriqueLes chasseurs, les spahis, les gourmiersGardiens et défenseurs d'empires magnifiquesSous l'ardent soleil chevauchant sans répit nos fiers coursiersToujours prets à servirA vaincre ou à mourirNos coeurs se sont unisPour la Trompette au garde à vous, sonnez à l'étendardEt que fièrement dans le ciel montent nos trois couleursLe souffle de la France anime la fanfareEt met à chacun, un peu d'air du pays au fond du coeurC'est notre volontéDe vaincre ou de lutterDe consacrer nos viesA la Patrie. 3. La piste est difficile et toujours nous appellePar les Monts pelés de Taza, de Ksar's Souk, de MideltL'élan de Bournazel vers le TafilaletSur les Ksour ralliés plantera fièrement nos trois Ensemble nous referons gaiement flotter nos étendartsEt suivrons partout hardiement l'éclat des trois couleursEnsemble nouc reprendrons demain le chemin du départEt pour le pays seront prêts à lutter sans nulle Soldats, toujours devant, toujours la tête haute,Nous serons présents sous la pluie, dans le vent, en avant!L'ennemi nous trouvera le coeur plein de courageEt dans ce combat glorieux revivront tous nos y a jamais de boudin pour les belges ? sont sympas les belges
Placée le 26/02/2017 par Diablotin90 Publiée le 27/02/2017 Dernier "Found it" 20/02/2021 - 545 jours Nombre de found 31 Premium Non Statut Archived Type Mystery/Unknown Taille Micro Difficulté Terrain Points favoris 2 8% Région Bourgogne-Franche-Comté Département Territoire-de-Belfort Commune Valdoie Dernière mise à jour le 13/12/2021 à 172514 Voir cette cache sur Totalité Géocaches placées par Diablotin90 Placée Taille Nom Difficulté Terrain 1 ✓ 15/01/2021 Bonus Adventure Lab Valdoie 1944 Les chemins... 2 ✓ 07/09/2020 Bonus Adventure Lab Le temps des forges [part I] 3 ✓ 20/06/2020 [1GM] - Les 3 abris 4 ✓ 13/06/2020 [1GM] - Vauthiermont Le Poste d'Observation 5 ✓ 13/06/2020 [1GM] - Vauthiermont Le Grand Abri 6 ✓ 13/06/2020 [1GM] - Lachapelle-sous-Rougemont Le Grand Abri 7 ✗ 27/04/2020 [1GM] - Lepuix-Neuf Casemate 1 8 ✓ 25/03/2020 Bonus Adventure Lab Crimes et mystères 9 ✗ 11/07/2019 La Piste Cyclable Nord Territoire 18 10 ✗ 07/07/2019 La Piste Cyclable Nord Territoire 21 11 ✗ 07/07/2019 La Piste Cyclable Nord Territoire 20 12 ✗ 07/07/2019 La Piste Cyclable Nord Territoire 19 13 ✗ 07/07/2019 La Piste Cyclable Nord Territoire 17 14 ✗ 07/07/2019 La Piste Cyclable Nord Territoire 16 15 ✗ 06/07/2019 La Piste Cyclable Nord Territoire 23 16 ✗ 06/07/2019 La Piste Cyclable Nord Territoire 22 17 ✓ 14/11/2018 Les forts 10 L'ouvrage de Chèvremont 18 ✓ 09/11/2018 Les forts 9 Fort de Vézelois 19 ✓ 05/11/2018 Les forts 8 Fort de Bellevue 20 ✓ 02/11/2018 Les forts 7 Fort de la justice 21 ✓ 19/10/2018 Les châteaux 4 Montreux-Château 22 ✓ 30/09/2018 Belfort L'Octroi 23 ✗ 16/08/2018 Le tour du fort 11 24 ✗ 16/08/2018 Le tour du fort 12 25 ✗ 16/08/2018 Le tour du fort 13 26 ✗ 16/08/2018 Le tour du fort 14 27 ✗ 16/08/2018 Le tour du fort 15 28 ✗ 16/08/2018 Le tour du fort 16 29 ✗ 10/08/2018 Le tour du fort 1 30 ✗ 10/08/2018 Le tour du fort 2 31 ✗ 10/08/2018 Le tour du fort 3 32 ✗ 10/08/2018 Le tour du fort 4 33 ✗ 10/08/2018 Le tour du fort 5 34 ✗ 10/08/2018 Le tour du fort 6 35 ✗ 10/08/2018 Le tour du fort 7 36 ✗ 10/08/2018 Le tour du fort 9 37 ✗ 10/08/2018 Le tour du fort 8 38 ✗ 10/08/2018 Le tour du fort 10 39 ✓ 28/06/2018 Souviens-toi 4 Lieu d'arrestations 40 ✗ 23/06/2018 Souviens-toi 3 Terreur et exaction 41 ✓ 08/06/2018 Souviens-toi 2 Les casernes de Giromagny 42 ✓ 26/05/2018 Souviens-toi 1 Le combat du champs des Fourches 43 ✓ 06/05/2018 Nécropole du siège 1870-1871 44 ✗ 23/11/2017 [LCLM] 1 La Savoureuse 45 ✗ 23/11/2017 [LCLM] 2 L'intersection 46 ✗ 23/11/2017 [LCLM] 3 Le pont de la Savoureuse 47 ✗ 23/11/2017 [LCLM] 4 Zone de captage des eaux 48 ✗ 23/11/2017 [LCLM] 5 Le ruisseau du Verboté 49 ✗ 23/11/2017 [LCLM] 6 Le pont du Verboté 50 ✗ 23/11/2017 [LCLM] 7 Panorama sur les Vosges 51 ✗ 23/11/2017 [LCLM] 8 Panorama sur les Vosges 2 52 ✗ 23/11/2017 [LCLM] 9 L'étang 53 ✗ 23/11/2017 [LCLM] 10 Fin de piste 54 ✗ 23/11/2017 [LCLM] 11 La jonction 55 ✗ 23/11/2017 [LCLM] 12 Bonus 56 ✓ 01/11/2017 Les forts 6 Fort de Bessoncourt 57 ✓ 29/07/2017 Frontière Franco-Allemande 1871-1914 Borne 3593 58 ✓ 29/07/2017 Frontière Franco-Allemande 1871-1914 Borne 3597 59 ✗ 09/07/2017 La Faune 4 Spéciale LUCIE 60 ✓ 01/07/2017 Les châteaux 3 Rougemont-le-château 61 ✓ 01/07/2017 Maison des ermites 62 ✓ 30/05/2017 Les forts 5 Fort de la Miotte 63 ✗ 28/05/2017 Où est le loup ? 64 ✗ 21/05/2017 [SPEA] Le camp 65 ✗ 21/05/2017 [SPEA] Le Rhôme 66 ✗ 21/05/2017 [SPEA] Les étangs 67 ✗ 21/05/2017 [SPEA] Le trésor d'Arthur 68 ✗ 21/05/2017 [SPEA] Le chalet disparu 69 ✗ 21/05/2017 [SPEA] Une pause s'impose 70 ✗ 21/05/2017 [SPEA] L'intersection 71 ✗ 21/05/2017 [SPEA] Panorama 1 72 ✗ 21/05/2017 [SPEA] La peinture 73 ✗ 21/05/2017 [SPEA] Le pâturage 74 ✗ 21/05/2017 [SPEA] Panorama 2 75 ✗ 21/05/2017 [SPEA] Retour à l'école 76 ✗ 08/04/2017 Les forts 4 Fort des Basses Perches 77 ✗ 01/04/2017 La Faune 1 Grenouille 78 ✗ 01/04/2017 La Faune 2 L'araignée 79 ✗ 01/04/2017 La Faune 3 Le serpent 80 ✓ 24/03/2017 Les forts 3 Fort Hatry 81 ✗ 26/02/2017 Les régiments d'Afrique 82 ✓ 10/12/2016 Les forts 2 Le fort de l'OTAN 83 ✗ 05/12/2016 Les forts 1 Fort Dorsner 84 ✗ 01/12/2016 Les châteaux 2 Château du Rosemont 85 ✗ 30/11/2016 Le Mésolithique 1 Site de la grosse roche 86 ✓ 30/11/2016 Les châteaux ; 1 Auxelles-haut 87 ✗ 30/11/2016 Chemin de la mémoire 1 Point de départ 88 ✗ 27/11/2016 [SPEA] Le départ
En Février 1929 démarre à Paris un énième sommet sur les réparations de guerre de l’Allemagne envers les alliés. Cette conférence va déboucher sur les Plans Young » du nom de son président de séance, Owen Young, de nationalité américaine. La Grande Bretagne a comme chef de délégation, Lord Montaigu Norman, président et gouverneur de la Banque d’Angleterre secondé par Lord Revelstoke; la délégation française est conduite par Emile Moreau, gouverneur de la Banque de France, celle de l’Allemagne par Hjalmar Schacht, président de la Reichbank Allemande. Les discussions bloquent parce que les Britanniques et les Américains ont une position à l’opposé de celle des Français. Alors que les Américains et les Anglais penchent pour l’annulation pure et simple de la dette allemande, les Français y sont quant à eux farouchement opposés. S’en suit des discussions houleuses au milieu desquelles le très rusé Hjalmar Schacht sort le joker de sa poche. Il dit que l’Allemagne est prête à payer toute sa dette mais à une seule condition, que l’on lui restitue toutes ses anciennes colonies africaines; car dit-il, ce n’est qu’en s’appuyant sur ces colonies que son pays pourrait générer assez de revenus pour éponger sa dette. A l’écoute de cette proposition, les Français raidissent d’effroi, et la rejettent violemment. A l’issue de cette conférence qui s’achève le 7 Juin 1929, un accord est finalement trouvé. Et pour faciliter les transferts d’argent entre l’Allemagne et ses créanciers, tous les protagonistes s’accordent sur la nécessité de créer une banque aux caractéristiques particulières ainsi nait la Banque des Règlements Internationaux. Ce qui est important pour nous, Africains, c’est le message subliminal contenu dans la déclaration de celui qui deviendra plus tard l’architecte du renouveau économique du 3e Reich et le concepteur des comptes ASKI, modèles des comptes d’Opérations français. Hjalmar Schacht nous apprend qu’avec l’exploitation des ressources de trois pays africains, à savoir le Cameroun, le Togo et la Namibie, l’Allemagne aurait pu régler toutes ses dettes de guerre. Or les ressources connues de ces trois pays à cette époque sont comparativement, infiniment inférieures à celles que l’on retrouve aujourd’hui ne serait-ce que dans les pays de la CEMAC, pour ne pas dire dans le Golfe de Guinée. Car, en plus des ressources du sol et du sous-sol connues autour des années 1930, il faut ajouter la plus importante des matières premières stratégiques qui est le pétrole, dont le Golfe de Guinée possède peut-être les réserves les plus importantes au monde. L’accaparement de cette richesse impose donc aux prédateurs la mise en place d’une stratégie de conquête dans laquelle les ONGs ne sont qu’un pion sur l’échiquier. Il est question dans cet article de comprendre les forces qui, tapies dans l’ombre, tirent les ficelles des ONGs qui contribuent à la déstabilisation qui a cours à l’heure actuelle dans le Golfe de Guinée, et plus particulièrement en Afrique Centrale. Révéler le rôle de couverture que jouent ces ONGs et autres organisations prétendument philanthropiques dans ce tableau est notre objectif. Pour une meilleure perspective, un précédent historique va nous aider. Les Sept Sœurs du Pétrole » et l’Emergence du Terrorisme Arabo-musulman Dès la découverte des champs pétrolifères dans la péninsule arabique, 7 compagnies Occidentales s’accaparent le monopole de l’exploitation de ce pétrole tout en excluant l’immense majorité des Arabes des bénéfices des retombées du pétrole découvert sur leurs terres. Ces 7 compagnies sont 1. La Standard Oil du New Jersey Renommée Esso, puis Exxon, aujourd’hui une composante de ExxonMobil 2. La Standard Oil de New-York renommée Socony, puis Mobil, fait désormais partie de ExxonMobil 3. La Standard Oil de la Californie renommée SoCal, aujourd’hui Chevron 4. Texaco qui a fusionné avec Chevron 5. Gulf Oil aujourd’hui racheté par Chevron 6. La Compagnie Anglo-Iranienne de Pétrole aujourd’hui BP 7. La Compagnie Royale Néerlandaise Shell Dès les premières remontées de pétrole, les industriels Occidentaux du pétrole prospèrent pendant que l’immense majorité des arabes misèrent. Cette situation va susciter d’un côté la colère dans la péninsule arabique, de l’autre la jalousie et l’envie en Occident. D’autres hommes d’affaires Occidentaux qui n’avaient pas initialement prêté attention au pétrole commencent à voir le potentiel de cette nouvelle ressource et décident de s’investir dans cette nouvelle industrie. Ils se heurtent au blocage et au refus de partager de la part des membres du cartel des sept. Afin de briser ce monopole et d’avoir leur part du gâteau, ils voient en la colère des arabes une ressource à exploiter. Ces industriels vont mobiliser les arabes, les former et financer leur révolte l’on assiste alors au passage à une grande échelle du terrorisme arabo-musulman. Les Arabes finissent par maitriser le terrorisme comme instrument stratégique de pression dans les négociations et éventuellement dans les déstabilisations. Les bavures ne manquent pas; l’une des plus spectaculaires est la prise d’otages dans la délégation Israélienne lors des Jeux Olympiques de Munich en 1972 par Ali Hassan Salamé, Abou Daoud et consorts, et qui a débouché sur un bain de sang. En guise de contre-offensive, les Sept Sœurs » lâchent un peu de lest en agrandissant l’assiette des miettes qui revient aux Arabes, mais surtout initient la création de l’OPEP dans le but de faire croire aux populations arabes que les réserves de pétrole leurs appartiennent désormais. L’évolution de l’industrie du pétrole ne suivra pas exactement le cours souhaité par le cartel qui perdra un peu de son contrôle. Mais le groupe initial des sept reste néanmoins extrêmement puissant en ayant le quasi-monopole des pipelines. Par exemple, le pipeline transarabien, long de plus de 1200 kms, qui part de Qu’ISUMA en Arabie-Saoudite à la mer méditerranéenne appartient à ExxonMobil, Chevron, et Texaco. Le plus grave est que l’appétit de domination initial ne s’est pas évaporé ; il s’est plutôt sophistiqué. Les rivaux ont décidé de se cogner moins les têtes en coordonnant leurs efforts, et en se consultant régulièrement au sein des organisations fermées comme le groupe Bilderberg. Chaque secteur a une espèce de chef de file. Tout comme au cœur du cartel de l’or et des banques centrales se trouvent les Rothschild, dans celui du pétrole trône la stature immense de ExxonMobil. Qui est John D Rockefeller Sr. ? Nous n’avons pas l’intention de présenter une biographie exhaustive de ce monsieur. Dans l’industrie du pétrole, c’est le fondateur de la Standard Oil Company, à ce titre, trois des sept sœurs du cartel lui appartenaient. Sa famille est aujourd’hui l’actionnaire majoritaire de la multinationale ExxonMobil. Cet homme ne croyait pas en la concurrence, il croyait au monopole, sa devise était La compétition concurrence est un péché… ». Son comportement de requin impitoyable lui a valu une réputation tellement exécrable auprès de ses contemporains qu’il a eu peur que cela n’impacte négativement ses affaires. Pour protéger ses affaires, il lui fallait soigner son image. Il a fait appel aux services d’Ivy Lee, l’un des plus grands experts à l’époque de la manipulation des masses que l’on appelle pudiquement Relations Publiques ». Ivy Lee ne tarde pas à l’introduire à l’arme de la philanthropie. Voici ce qu’en dit Myers Kutz Rockefeller, l’une de ses descendantes …La philanthropie procure plus de pouvoir que la richesse seule ne pourrait produire… ». C’est donc grâce à cette opération de relations publiques que Rockefeller est perçu à tort comme l’un des plus grands philanthropes de la planète. Les Fondations Rockefeller et la conquête du monde D’après Gary Allen, les Rockefellers contrôlent non seulement les fondations qui portent leur nom, mais aussi la Fondation Ford et les cinq Fondations Carnegie. A travers ces fondations, la famille Rockefeller finance de nombreuses organisations, des Instituts de recherches, des Universités, et une longue liste d’organisations. Le principal tour de force de l’argent des Rockefeller a été la mise sur pied du CFR Council on Foreign Relations, un think thank dont sont issus les plus hauts responsables du gouvernement américain et qui contrôle toute la politique étrangère et commerciale américaine. Cela qui a fait dire au journaliste Jack Anderson en 1967 que le Département d’Etat Américain Ministère des Relations Extérieures n’est qu’une machine au service du pétrole. Comme si cela ne suffisait pas, l’influence de la famille Rockefeller s’étend aux Institutions Financières Mondiales. D’après un rapport de l’OSS l’ancêtre de la CIA, l’une des causes de la convocation de la conférence de Brettons Wood qui donna naissance au FMI et à la Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement, cette dernière étant devenue la composante principale de la Banque Mondiale en 1944 était la nécessité de la mise en place d’un nouveau système financier suite aux bénéfices énormes réalisés par la Standard Oil Company de Rockefeller. Cette compagnie s’est retrouvée avec la bagatelle de 300 milliards de dollars de dividendes à distribuer entre ses actionnaires éparpillés dans le monde Pour mettre les choses en perspective, il faut garder à l’esprit qu’entre-temps, le dollar américain a perdu au moins 95% de sa valeur d’alors, et donc cette somme vaudrait aujourd’hui au moins 6000 milliards de dollars, en plus les systèmes informatiques sophistiqués actuels n’existaient pas. Le système financier mondial en place à ce moment-là n’avait pas un niveau d’organisation et de pouvoir capable de correctement supporter une telle opération de transfert d’argent. Les agents de Rockefeller ont depuis lors, toujours dominé la Banque Mondiale. A titre d’exemple, John McCloy, ancien Président de la Fondation Ford et donc agent des Rockefeller deviendra plus tard le 2e Président de la Banque Mondiale. Il sera remplacé à la tête de la Banque Mondiale par Eugen Black, ancien Président de la Chase Manhattan Bank, dont l’actionnaire principal est… Rockefeller ! Les tentacules de cet homme ne s’arrêtent pas là . L’ONU est née en 1945 à San Francisco, dans l’un des domaines des Rockefeller, en présence de David Rockefeller et de 45 autres membres du CFR. Autant la Société Des Nations SDN était une initiative du Congrès de la Franc-maçonnerie tenu à Paris du 28 au 30 Juin de l’an 1917, autant les Illuminatis la plus large loge maçonnique au monde sont les promoteurs de l’ONU. Le siège de cette organisation se trouve à New-York, dans un domaine gracieusement » offert par… Rockefeller. Rien d’étonnant donc qu’INTERPOL, une fabrication de Rockefeller, ait obtenu en 1975, et au mépris de la Charte des Nations Unis, un statut de membre Observateur avec droit de vote sur les résolutions. Il n’y a pratiquement pas un secteur de la vie qui n’ait été phagocyté par cet homme. Le domaine de l’éducation lui-même avec le contrôle aux Etats-Unis de l’Edition des livres et des programmes scolaires n’en est pas exempt. Une organisation, le PEA Progressive Education Association, en français Association des progressistes de l’Education avait été créée en 1919 et était sous son influence. Cette organisation a dû s’auto-dissoudre en 1955 suite à l’injonction de certains membres courageux du Congrès américain. Jusqu’aujourd’hui, le Collège d’Education de l’Université Columbia est sponsorisé par la Fondation Carnegie. La religion n’est pas en reste ; pendant longtemps les Rockefeller ont financé L’union de Séminaires de Théologie de New-York Union theological Seminary of New-York et mis sur pied Le Conseil Fédéral des Eglises Federal Council of Churches qui est par la suite devenu le NCC National Council of Churches ou Conseil National des Eglises. Rockefeller est aussi responsable du changement fondamental en médecine et dans la prise en charge des maladies. On est allé d’une approche naturelle et naturopathe à une approche chimique qui bénéficie aux compagnies pharmaceutiques alors qu’il utilisait lui-même les services d’un naturopathe. Pour accomplir cela, il a par des manigances changé les programmes des Ecoles de Médecine dont il avait pris le contrôle à travers des financements. Il est d’ailleurs à l’ origine du Cancer Institute qui fait entretient l’illusion de traiter le cancer. Apres que toutes ces institutions aient été mises en place et sous contrôle, la création des ONGs s’imposait naturellement pour faire le boulot sur le terrain sans attirer trop d’attention. Rockefeller et les ONGs La plupart des ONGs qui se déploient autour des pays pétroliers ne sont que des satellites du Human Right Watch ». Cette ONG a été créée en 1982 lors d’une assemblée dans une villa privée en Italie de…. Rockefeller. Transparency International a été créé en 1993 par un groupe de personnes dont la figure centrale est Peter Eigen, ancien haut cadre de la Fondation Carnegie, puis directeur de programmes à la Banque Mondiale, et dont les recherches académiques ont été financées par la Fondation Ford. Comme nous l’avons dit précédemment dans d’autres articles, le monde de la haute finance s’appuie sur deux colonnes principales, avec comme colonels et chefs de régiments respectifs, Rockefeller et Rothschild. Dans le régiment des Rothschild, l’on trouve par exemple le FMI, et des lieutenants comme Peter Benenson, fondateur d’Amnesty International, et George Schwartz, devenu George Soros et sa fondation Open Society. Ces ONGs du fait de leur supposée autorité morale auto-attribuée ont la capacité de salir ou de soigner l’image d’un pays auprès des opinions publiques Occidentales qui naïvement leur accordent de la crédibilité. C’est de cette influence qu’elles tiennent leur soft power » qu’elles utilisent pour faire pression sur les gouvernements africains et offrir un prétexte pour une implication de la communauté internationale » dans des crises préfabriquées. Les ONGs africains quant à elles, en tant que relais locaux de ces grandes organisations dont elles ne savent rien, que ce soit des tenants ou des aboutissants réels de leur raison d’être, ne peuvent être placées qu’à la périphérie de la périphérie de ces dernières. Cela est une caractéristique des Institutions et Organisations africaines, représentations régionales des créations Occidentales. Elles sont toujours à des années lumières des centres de décisions. Très franchement, les Africains doivent apprendre à se créer leurs propres institutions et de n’adhérer à des organisations que s’ils ont à l’intérieur de celles-ci un vrai droit de regard, et un authentique pouvoir de décision. Au vu de tout ce qui a été dit, il est clair que les Droits de l’Homme, l’amour pour la démocratie, la lutte contre la pauvreté ne sont que des prétextes qui servent de portes d’entrée aux ONGs pour leur immixtion dans les affaires internes des pays-cibles. Il n’y a donc rien d’étonnant que ces ONGs ne se soucient du bien-être des Hommes que dans les pays riches en ressources naturelles qui ont des leaders que les maitres du monde trouvent gênants, et en particulier si dans ces régions se trouvent d’énormes gisements de pétrole et de gaz naturel. Les pays de la CEMAC sont les victimes d’une attaque parfaitement coordonnée derrière laquelle se dresse entre autres, la figure imposante de Rockefeller, et dont l’objectif est la mise sous-tutelle des hydrocarbures du Golfe de Guinée. Chacune des organisations sous-contrôle joue sa partition, depuis les institutions dites internationales, aux ONGs nébuleuses. Le levier du terrorisme n’est pas en reste. Contenir et contrer ces attaques va demander de la réflexion, une organisation et une coordination enthousiaste entière et sans faille des pays ciblés. D’ailleurs une conférence sur les matières premières s’impose dans ces régions en particulier, et en Afrique en général afin de mettre en place une stratégie de riposte à l’échelle africaine. L’heure est très grave. Paul D Bekima source
c est nous les descendants des régiments d afrique