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Cemoment gĂȘnant oĂč tu ramĂšnes un bidon d'essence Ă la fĂȘte des voisins pour les immoler et ils pensent que c'est un cadeau. â Pompe le Mousse (@Pompe_lemousse) May 27, 2016 13.
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AidĂ© de Shalimar, ils avaient dĂ©guisĂ©s la chienne en un magnifique fantĂŽme un drap dĂ©coupĂ© avait fait lâaffaire. Mais il paraissait que la chienne Ă©tait dâ le wagon pour lequel Ă©tait organisĂ©e la fĂȘte, Devon sâĂ©tait arrĂȘtĂ© pour dĂ©poser son long manteau. Il avait dĂ©cidĂ©ment beaucoup de mal Ă se mettre Ă la saison dâautomne. Lui qui avait passĂ© ces deux derniĂšres annĂ©es Ă Miami regrettait fortement le soleil Ă©ternel qui Ă©tait dans cette rĂ©gion. On lui indiqua oĂč se trouvait les vestiaires. AccompagnĂ© de Daisy, il Ă©tait facile pour lui de se faire passer pour un voyant qui jouait les aveugles. Il Ă©tait impatient de voir ce que cette supercherie donnerait quand il rencontrerait des personnes autour de lui. Il donne son manteau Ă la femme responsable de les garder, il la salue, fait une remarque sur son Ă©ventuel costume et celle-ci rigole. Câest ce moment que choisit sa chienne pour partir Ă la recherche dâune Ă©ventuelle odeur. Elle court et Devon nâa pas le temps de la rattraper quâelle sâest faufilĂ©e parmi les diffĂ©rents portiques, recherchant Ă travers les diffĂ©rents mentaux. Merde, Daisy revient. »La responsable des vestiaires lui dit que le sportif peut aller chercher sa chienne. Visiblement, elle croit quâil voit. Cela fait plaisir Ă Devon, il avance et se heurte dans une petite table, il appel sa chienne qui revient. La voix de la personne qui vient Ă son tour amener ses vĂȘtements le fait sursauter. Il tourne la tĂȘte et demande Mademoiselle Cooper ? »c InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re FantĂŽme, es tu lĂ ? Dim 17 Nov - 2130 FantĂŽme, es tu lĂ ?devon & dylanCode by Silver LungsHalloween, une fĂȘte que Dylan apprĂ©ciĂ©e vraiment. Pour l'occasion elle s'Ă©tait dĂ©guisĂ©e en super hĂ©roĂŻne un mĂ©lange de Wonder Woman et de Hit-Girl de "Kick ass" et avait mĂȘme poussĂ© jusqu'Ă se teindre les cheveux en violet. Une de ces colorations qui partaient en dix shampoing, rien de trop extravagant non plus. Elle n'aimait pas tellement le changement en niveau de ses cheveux. Mais pour un soir dans l'annĂ©e, elle avait fait un effort. Il lui suffirait de passer le lendemain Ă se laver les cheveux, pour que tout redevienne comme avant. Ce n'Ă©tait pas tellement un dĂ©guisement d'halloween, mais elle voyait plus le trente-et-un octobre comme une soirĂ©e pour se dĂ©guiser que pour forcĂ©ment chercher Ă effrayer les gens. Et puis elle ne voyait pas l'intĂ©rĂȘt d'investir Ă©normĂ©ment dans une tenue pour une soirĂ©e. Comme certains qui devaient Ă©conomiser un maximum en vue de leurs n'Ă©tait lĂ que depuis dix minutes Ă peine et elle avait vu un peu de tout niveau costume. Certains Ă©taient trĂšs rĂ©ussis, d'autres Ă©taient ridicules et il y en avait mĂȘme certains, qui donnaient l'impression que les personnes en question plus particuliĂšrement des femmes c'Ă©taient trompĂ©es de soirĂ©e. Son costume, n'Ă©tait pas tellement extraordinaire non plus, mais au moins elle n'avait absolument pas honte de comment elle Ă©tait habillĂ©e. Ce qui comptait le plus, c'Ă©tait la soirĂ©e en elle-mĂȘme et non le dĂ©guisement. Elle avait mĂȘme pensĂ© Ă venir sans costume et puis finalement elle avait fait un effort. Seulement, elle Ă©tait venue seule. Sans Liam, sans Alyssa -qui avait immĂ©diatement refusĂ©e- et sans Heaven qu'elle n'avait pas voulue dĂ©ranger. La brune aurait bien aimĂ© que son mari vienne avec elle, mais encore une fois, il avait refusĂ©. Tant pis pour lui, il ne savait pas ce qu'il allait rater. Dylan, avait bien dĂ©cidĂ© d'en profiter. Ce n'Ă©tait pas tous les jours que ce genre fĂȘte, dans un train qui plus est, se avant de profiter de la fĂȘte en question, elle Ă©tait passĂ©e par les vestiaires afin de dĂ©poser sa veste. En revanche, il Ă©tait totalement hors de question de laisser son sac. Elle avait besoin de son tĂ©lĂ©phone et du reste Ă porter de main. Bien sĂ»r, il y a dĂ©jĂ du monde, ce qui fait que cela n'avance pas vite, ce qui a le don d'agacer Dylan. Finalement, arrive son tour. Parfait. Bonsoir. » Elle n'eut mĂȘme pas le temps de commencer Ă enlever sa veste que quelqu'un l'appel. Une voix qu'elle connait et qu'elle ne pensait vraiment pas entendre de nouveau un jour. Non, dĂ©solĂ©e. » Elle ne devrait pas, mais elle est Ă©nervĂ©e. C'est Madame, maintenant. » Objectif, poser sa veste et partir le plus rapidement possible. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re FantĂŽme, es tu lĂ ? Mer 20 Nov - 2040 Dylan & Devonâ Le bonheur ! Quelqu'un t'a dĂ©jĂ dit ce que c'est ? Ăa me paraĂźt un fantĂŽme aprĂšs lequel tout le monde court et que personne ne rĂ©ussit Ă attraper. âLe cĆur de Devon avait sursautĂ© quand il avait entendu cette voix. Comment avait il pu douter que ce nâĂ©tait pas cette personne. Pendant des mois, aprĂšs son dĂ©part pour Miami, il sâĂ©tait repassĂ© toutes leurs conversations. Bien sur que ça ne pouvait ĂȘtre quâelle. Son visage est tournĂ© vers sa charmante surprise. Il reste sans mots. En fait, il nâavait jamais pensĂ© quâun jour il aurait lâoccasion de revoir cette femme extraordinaire. La probabilitĂ© pour quâils se croisent Ă cette soirĂ©e Ă©tait tellement minime⊠Alors quâil Ă©tait presque rĂ©jouit de retrouver cette femme qui avait Ă©tĂ© si importe dans sa premiĂšre vie Ă New York, Devon se souvient dâun message quâil a envoyĂ© il y a quelques semaines. Dans un moment dâennui, il sâĂ©tait amusĂ© Ă reprendre contact avec les personnes quâil avait abandonnĂ© il y a un an et demi. Et parmi ces personnes, il y avait Dylan. PiquĂ© par lâannonce de son mariage, il sâĂ©tait empressĂ© lui aussi de dire quâil avait passĂ© la bague au doigt, et surtout quâil avait mĂȘme retrouvĂ© la vue. Comment allait-il se sortir de ce mensonge créé par son ego ? DĂ©solĂ©, je nâai pas reçu le faire part de mariage. Surement une erreur de la poste ! » Daisy rejoint son maĂźtre et vient sâinstaller Ă cĂŽtĂ© de lui. Assise, elle ne bouge pas, et assiste Ă ces retrouvailles en tant que spectatrice Elle ne dit rien, peut ĂȘtre ne se souvient elle pas aussi bien de Dylan que son maĂźtre. Il se tient bien droit, et garde le sourire aux lĂšvres, mĂȘme sâil trouve la situation beaucoup trop compliquĂ©e pour que lâaveugle sâen sorte sans sportif compte faire en sorte que la nouvelle mariĂ©e pense quâil joue son dĂ©guisement Ă fond. Câest le seul subterfuge quâil a trouvĂ©. En faite, en presque deux ans, il nâa pas spĂ©cialement changĂ©, il est toujours aussi taquin, et ne compte pas lui cacher. Dâailleurs, le voilĂ prĂȘt Ă lancer quelques piques. Alors, Madame ne vient plus me faire la bise ? »Il rigole en attendant de voir si elle va sâapprocher. Devon tapote sa chienne pour quâelle se lĂšve. Avec un dĂ©guisement pareil, et surtout un drap aussi long, elle a un peu de mal Ă se relever, et le drap glisse. Le chroniqueur sâapproche de la jeune femme. Assez pour lui montrer quâelle nâa pas tout faire, mais pas de trop pour se prendre le moindre objet. Tu te souviens de Daisy ? Tu lâexcuseras, câest elle qui a des petits soucis visuels maintenant ? En tout cas, tu es vraiment magnifique ! Câest marrant je te croyais blonde ! »Il se souvenait trĂšs bien de ses cheveux bruns et de tous les aspects de son corps. Tout ce quâil espĂ©rait, câest quâelle nâait pas changĂ© au blond platine et quâelle nâait pas pris cinquante kilos. Elle qui avait un corps si âŠdĂ©sirables. c InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re FantĂŽme, es tu lĂ ? Sam 23 Nov - 257 Parmi toutes les personnes que Dylan aurait pu penser voir ici ce soir, Devon n'en faisait clairement pas partie. Elle avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© largement surprise quand il lui avait envoyĂ© un message quelques temps plus tĂŽt, pour prendre de ses nouvelles. Chose qu'elle n'aurait jamais cru possible. Elle ne s'Ă©tait absolument pas attendu Ă ravoir de ses nouvelles un jour, pas aprĂšs qu'il est totalement disparu du jour au lendemain. Et pourtant, c'Ă©tait bien lui, Ă quelques mĂštres d'elle. Seulement recevoir des messages et le voir en vrai Ă©taient deux choses complĂštement diffĂ©rentes. Elle Ă©tait surprise, trĂšs surprise, et quelque peu en colĂšre. Elle n'avait aucune envie de lui parler, tout ce qu'elle voulait Ă©tĂ© poser sa veste et rejoindre les autres invitĂ©s. Malheureusement, elle fut bien incapable de ne pas lui rĂ©pondre, quand il l'interpella. Cela avait Ă©tĂ© plus fort qu'elle. Non aucune erreur. Comment peut-on envoyer quelque chose Ă une personne qui a disparu ? » Vraie, elle n'avait eu aucune idĂ©e d'oĂč est-ce qu'il Ă©tait passĂ© depuis la derniĂšre fois qu'ils s'Ă©taient vus. Et dans tous les cas, elle ne l'aurait jamais prĂ©venu de son mariage, puisque cela ne le regardait en que sa veste Ă©tait donnĂ©e, elle pouvait partir. Mais l'envie de voir ce qu'il Ă©tait devenu avait Ă©tĂ© plus forte. AprĂšs tout, ce n'Ă©tait pas non plus une ancienne vague connaissance. D'aprĂšs ses messages, il Ă©tait aussi mariĂ© et avait mĂȘme retrouvĂ© la vue. Tant mieux pour lui. Cela ne changeait en rien ce qui avait pu se passer ou ne pas se passer justement. Niveau caractĂšre, il ne semble pas avoir changĂ© et ce qui l'aurait fait sourir il y a quelques annĂ©es, l'agace dĂ©sormais. En rĂ©alitĂ©, elle est en colĂšre contre lui, puisqu'il a le culot de rĂ©apparaĂźtre comme ça. Comme si de rien n'Ă©tait et c'est cela qui l'Ă©nerve rĂ©ellement. Pourtant, elle n'attend rien de lui, mais c'est plus fort qu'elle. Non, je ne voudrais pas froisser mon dĂ©guisement. » Excuse bidon du jour. Elle cherche une porte de sortie, Dylan sait trĂšs bien qu'elle n'aurait pas dĂ» rester lui parler. Pourtant, elle semble incapable de trouver une excuse valable ou mĂȘme de le planter lĂ pour sortir des vestiaires. Et pourtant, mĂȘme avec ses soucis, elle reste encore la plus adorable de vous deux. » Elle se souvient vaguement de sa chienne, il faut dire qu'Ă l'Ă©poque ce n'Ă©tait pas tellement son chien qui l'intĂ©ressĂ©. Et bien dĂ©solĂ©e de te dĂ©cevoir, mais non. Je n'ai jamais Ă©tĂ© blonde. » Blonde ? Jamais de la vie. Elle tenait bien trop Ă ses cheveux pour cela, mĂȘme si elle avait fait une exception pour la soirĂ©e en se les teignant en violet. Et puis, comme tu peux le constater le blond ne ferait pas vraiment jolie. » Avec sa peau si pĂąle, si elle devenait blonde, cela serait un vrai massacre. Ce n'est pas que ce n'est pas sympa de te retrouver et d'Ă©changer des banalitĂ©s comme au bon vieux temps, mais je suis sĂ»re que quelqu'un doit t'attendre. Ăa serait dommage de rater la soirĂ©e, pour discuter avec moi. » Il devait bien avoir quelqu'un pour passer la soirĂ©e. Il avait dit ĂȘtre mariĂ©, gĂ©nĂ©ralement Ă ce genre de soirĂ©e l'on si rend avec son conjoint. Exception faite d'elle-mĂȘme, qui n'avait pas rĂ©ussi Ă faire sortir Liam. Il fallait aussi avouer qu'en ce moment, il ne sortait vraiment pas beaucoup de son appartement. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re FantĂŽme, es tu lĂ ? Sam 30 Nov - 1914 Dylan & Devonâ Le bonheur ! Quelqu'un t'a dĂ©jĂ dit ce que c'est ? Ăa me paraĂźt un fantĂŽme aprĂšs lequel tout le monde court et que personne ne rĂ©ussit Ă attraper. âEt voyez avec quelle aisance Dylan reprend sa place de reine intouchable. En fait, câĂ©tait comme sâil nâĂ©tait pas parti. A croire quâelle lui en veut encore pour lâhistoire de la douche lorsque lâaveugle nâĂ©tait pas de sa meilleure forme. AprĂšs tout, Ă quoi sâattendait-il ? Elle nâallait pas lui sauter dans les bras et lui dire Ă quel point elle Ă©tait ravie de le revoir. Devon Ă©tait lâhomme qui Ă©tait parti du jour ou lendemain sans rien dire. Ce fait, le sportif ne pourrait jamais le changer ; tout ce quâil pouvait faire, câĂ©tait de faire avec, et câest bien ce quâil comptait faire dans la discussion avec la jeune sportif reste quelques secondes sans avoir quoi faire de peur que le mensonge concernant sa cĂ©citĂ© soit exposĂ© au grand jour, ou sâil doit prĂ©senter convenablement des excuses pour son comportement dĂ©plorable les derniers mois oĂč ils se sont vus. Enfin plutĂŽt cĂŽtoyĂ©s. Doucement, Devon attrape le collier de sa chienne et essaye dâavancer encore un peu vers la jeune femme. Son instinct lui dit de sâarrĂȘter et il a bien fait, il ne reste quâun mĂštre entre lui et Madame James. Et si je tâoffrais un verre pour me faire pardonner de toutes mes bĂȘtises passĂ©es ? »Doucement, il essaye de se racheter une chance. Le chroniqueur a bien compris quâĂ la façon dont Dylan parle, il a beaucoup de points Ă marquer sâil compte regagner la confiance de la jeune femme. MĂȘme si Devon sait quâil a mĂ©ritĂ© ce ton froid, il aurait aimĂ© quâelle lui rĂ©serve pour la suite, signe quâelle serait prĂȘte Ă lui donner un dixiĂšme de chance de se racheter. Mes occupations peuvent attendre. A vrai dire, je suis venu ici dans le but de recroiser des personnes que jâai connues durant ma premiĂšre vie Ă New York. Et Ă moins que tu ne sois trop occupĂ©e ou que ton cher mari soit lĂ , jâaimerai rĂ©ellement prendre des vraies nouvelles de toi. »Il sourit. Vous savez de ce petit sourire auquel il est difficile de dire non. Ce nâĂ©tait pas parce quâil Ă©tait difficile de dire non, que Dylan nâen serait pas capable, et ça il le savait. En conclusion, lâactuel chroniqueur allait la devoir jouer extrĂȘmement fine sâil veut quâelle lui accorde un peu de temps. Plus le jeune homme attend avant de reprendre la parole, et plus il sent la jeune femme filer entre ses doigts. PressĂ©, il relance de nouveau sa proposition en espĂ©rant cette fois ci lâavoir Ă lâusure. Allez, en souvenir des bonnes choses qui se sont passĂ©es entre nous. Promis, je nâessayerai pas de te faire rompre tes vĆux de mariage. » Il sourit, Devon est moins manipulateur. Câest juste que lâidĂ©e que quelquâun ait rĂ©ussi Ă mettre la corde au cou Ă Dylan Ă©tait hors de sa pensĂ©e. Soit lâhomme Ă©tait un saint, soit il Ă©tait un fou. Dâailleurs, histoire que la conversation ne retombe pas, il va sâintĂ©resser dâun peu plus prĂšs Ă cette toute nouvelle mariĂ©e. Jâai le droit de savoir au moins sâil te rend Ă©panouie ? »c InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re FantĂŽme, es tu lĂ ? Dim 1 DĂ©c - 2136 Dylan avait beau se rĂ©pĂ©ter qu'elle devait partir et arrĂȘter de parler avec Devon, elle Ă©tait toujours lĂ , dans le vestiaire Ă faire exactement le contraire. Jusqu'ici il Ă©tait la seule personne qu'elle connaissait qu'elle avait croisĂ©. Mais ce n'Ă©tait pas que pour cela qu'elle Ă©tait encore lĂ . Non, en vĂ©ritĂ© elle Ă©tait curieuse. Curieuse de savoir ce qu'il Ă©tait devenu depuis tout ce temps. La premiĂšre chose qu'elle avait pu constater, c'est qu'il ne semblait pas avoir changĂ©. FidĂšle Ă lui-mĂȘme. Je crois qu'il faudrait plus qu'un verre pour ça. » Instinctivement, elle recule d'un pas alors qu'il vient lui-mĂȘme de se rapprocher. C'est bĂȘte et elle le sait, mais elle ne veut pas se retrouver trop proche de lui. MalgrĂ© le temps, son mariage et le fait qu'il soit parti du jour au lendemain, il reste quelqu'un qui a Ă©tĂ© important pour elle, Ă un moment dans sa vie. Et ces personnes-lĂ , sont assez rares, c'est pourquoi malgrĂ© tout, elle ne peut pas agir comme si de rien n'Ă©tait. Elle n'en reste pas moins en colĂšre contre lui. S'il s'attend Ă ce qu'elle gentille et qu'ils parlent comme s'ils Ă©taient deux vieux amis, il peut toujours attendre un touchant, elle serait presque tentĂ©e de croire Ă son petit discours sur le fait de reprendre contact avec les personnes qu'il a connues Ă New-York. Seulement il a un an et demi de retard et Dylan est une personne tĂȘtue, trĂšs tĂȘtue. Elle doute rĂ©ellement qu'ils aient encore des choses Ă se dire de toute façon, alors pourquoi perdre son temps ? La brune est ici pour s'amuser et non pour se prendre la tĂȘte. C'est dĂ©jĂ quelque chose qu'elle fait presque au quotidien Ă cause de Liam et de son comportement du moment. Mais encore une fois, elle ne part pas. Pas pour le moment, elle l'Ă©coute parler, s'amusant avec son costume. Seulement voilĂ , Devon est douĂ©. Aussi bien que par la parole, que dans son attitude. Et elle ne peut pas s'empĂȘcher de rĂ©agir Ă certaines paroles. Les bonnes choses ? Genre quoi ? » Sur le coup, elle est mauvaise, elle le sait, mais le voir lĂ et lui parler comme si de rien n'Ă©tait, l'Ă©nerve presque autant qu'elle a envie de continuer Ă lui parler. Ce qui soit dit en passant, l'Ă©nerve encore plus. Un cercle qui l'Ă©nerve encore plus, c'est sa derniĂšre question. Le fait qu'il lui pose et le fait qu'elle ne puisse pas simplement rĂ©pondre oui. Amoureuse, ça oui, elle l'est sans aucun doute, mais depuis le mois de juillet, c'est assez difficile de rester avec Liam. Et Ă force, elle ne sait plus vraiment quoi faire. Elle ne veut pas le quitter ou divorcer, mais Ă elle toute seule, elle ne peut pas faire grand-chose. TrĂšs bien, juste un verre. » Un verre, cela n'engage Ă rien et elle en aurait bien besoin. Elle n'a pas rĂ©pondu Ă sa question parce qu'elle ne veut pas. Cela ne le regarde pas aprĂšs tout. Mais aussi parce qu'elle se demande s'il serait capable de savoir si elle dit la vĂ©ritĂ© ou non. Il peut prendre sa non rĂ©ponse comme bon lui semble, elle s'en moque. Elle ne veut pas parler de son mariage avec lui. Ni avec personne derniĂšrement. AussitĂŽt acceptĂ©e la proposition d'aller boire un verre, elle lui emboĂźte le pas pour se diriger vers le bar. Elle ne sait pas oĂč il se trouve, mais il y en a forcĂ©ment un. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re FantĂŽme, es tu lĂ ? Sam 21 DĂ©c - 1656 Dylan & Devonâ Le bonheur ! Quelqu'un t'a dĂ©jĂ dit ce que c'est ? Ăa me paraĂźt un fantĂŽme aprĂšs lequel tout le monde court et que personne ne rĂ©ussit Ă attraper. âQuelle sensation Ă©trange que de retrouver une ancienne connaissance de sa premiĂšre vie Ă New York. Et pas nâimporte laquelle Dylan Lily Cooper. La probabilitĂ© pour quâil rencontre quelquâun de son passĂ© Ă©tait bien mince, mais pour que ce soit cette femme il nâen revenait pas. Quâon lâappelle hasard, coĂŻncidence, destin, peut importe comment vous lâappelez, le fait est que les chemins de lâaveugle croisaient de nouveau ceux de la jeune femme. A lâentendre parler et rĂ©pondre avec autant dâappoint, il nâa pas lâimpression de lâavoir quittĂ© il y a autant de temps. En fait, câĂ©tait comme si câĂ©tait hier qui lui faisait le pire plan quâune femme puisse rĂȘver sous la douche. Lâaveugle se refait la scĂšne, et secoue sa tĂȘte pour chasser cette vision. Cela appartient au passĂ©, sâil reste concentrer lĂ -dessus, il sera incapable de faire amende honorable auprĂšs de la jeune mariĂ©e. Devon sâavance vers elle, essaye de ne pas tenir Daisy pour ne pas prouver quâil soit toujours aussi bigleux quâil y a deux ans. Manque de chance, il a faillit tituber dans sa chienne en avançant, et rigole en caressant son labrador. En sâabaissant, le chroniqueur frĂŽle la jeune femme, et se dit que prendre son bras. Pas de rĂ©ponses, tant pis, câest ton choix. En Ă©change, tu dois me donner le bras, en souvenir des fois oĂč tu me promenais. »Son visage se tourne vers elle, un large sourire le fend. Il sait bien quâil nâest pas un ange, mais il aime tellement sâen donner lâair. Ils avancent et bĂȘtement se laisse trainer lĂ oĂč Dylan a envie de lâamener. A vrai dire, il espĂšre quâelle va retrouver ses anciens rĂ©flexes parce que depuis tout Ă lâheure, il sâest dĂ©jĂ prit quelques tables, sâest heurtĂ© Ă certaines personnes et est rentrĂ© dans une dĂ©coration poussiĂ©reuse qui lui a valut une crise dâĂ©ternuement. Pas dâautre choix que se moucher et dâabandonner le bras de Dylan. Quand Devon se mouche, il est aussi bruyant quâun homme peut lâĂȘtre, ça en rĂ©veillerait les zombies prĂ©sents Ă la fĂȘte. Dâailleurs, un mort vivant Ă sursauter Ă quelques mĂštres du chroniqueur. Avant quâon aille boire un verre, je pense que je devrais ĂȘtre sincĂšre avec toi et te dire quâen fait quâen je tâai envoyĂ© un message pour prendre de tes nouvelles, jâai peut ĂȘtre amĂ©liorĂ© les miennes parce que sur le moment jâĂ©tais jaloux⊠»Il grimace en tendant lâoreille vers la jeune femme pour avoir quelques indices sur la façon dont elle va rĂ©agir, et surtout Ă savoir si elle avait devinĂ© depuis longtemps sa supercherie Chose qui ne lâĂ©tonnerait pas, Dylan est une femme perspicace capable de faire tourner en rond le Cohen pendant un bon moment. Elle aussi serait capable de dire quâelle le fait en souvenir du bon vieux temps.c InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re FantĂŽme, es tu lĂ ? Jeu 23 Jan - 203 Il n'y avait bien qu'Ă halloween que l'on pouvait croiser des fantĂŽmes et c'Ă©tait exactement l'impression que Dylan avait en ce moment. Cela faisait bien plus d'un an que Devon avait disparu du jour au lendemain, sans donner de nouvelles hormis un message il y avait quelques semaines et voilĂ qu'il Ă©tait lĂ , comme si de rien n'Ă©tait. FidĂšle Ă lui-mĂȘme, comme s'ils s'Ă©taient vus la semaine derniĂšre. Et mĂȘme s'il s'Ă©tait passĂ© pas mal de choses dans sa vie, elle ne pouvait s'empĂȘcher de rester lĂ Ă lui parler. Ce n'Ă©tait pas non plus, comme si elle venait de croiser son ancien boulanger, non Devon avait Ă©tĂ© une personne plus ou moins importante pour elle par le passĂ©. Elle venait tout juste d'accepter de prendre un verre avec lui, comme elle l'aurait probablement fait avec n'importe quelle autre personne de sa connaissance. Elle ne s'Ă©tonne mĂȘme pas du fait qu'il semble avoir du mal Ă rester sur ses deux jambes. Qu'il est effectivement retrouvĂ© la vue comme il le lui a annoncĂ© ou non, ne change pas grand-chose au final. Si ce n'est que s'il lui a menti, il ne peut pas admirer sa beautĂ©, chose qui mĂ©rite d'ĂȘtre regardĂ© au moins une fois dans une vie. Ah si c'est en souvenir du bon vieux temps... Je ne voudrais surtout pas manquer cette joie, alors. » Ton ironique bien Ă©videmment, mais elle le laisse faire. Plus le temps passe et plus rien ne l'Ă©tonne. Il en a presque toujours Ă©tĂ© comme cela avec lui. Il peut tellement faire tout et n'importe quoi, qu'au final, plus rien ne lui semble anormale. Et puis ce soir, elle n'a pas envie d'argumenter avec lui. Non, qu'elle se laissera faire, il ne faut pas non plus abuser, mais pour le moment, il est plus simple d'aller dans son sens. Pour le en attendant, elle essaye de trouver le wagon bar, tout en avançant normalement, ne faisant pas tellement attention Ă Devon. AprĂšs tout, elle n'a pas de raison de le faire, en thĂ©orie. Parce que sur la technique, il a vraiment du mal Ă suivre. Non ? C'est pour ça que j'ai l'impression que t'as dĂ©jĂ trouvĂ© la place du bar et que tu ne sais pas marcher correctement. Tu ne peux toujours pas contempler ma beautĂ© hein ? Quel dommage. » Oui, vraiment dommage pour lui, mais vu ĂŽ combien il avait eu un peu de mal depuis qu'elle la croisait, cela ne l'Ă©tonne pas qu'il est pu lui raconter cela, alors que ce n'Ă©tait absolument pas vrai. Ou alors, il sait oĂč se trouve le bar et il ferait mieux de lui indiquer la bonne direction rapidement. Repassant sous bras, sous le sien, elle se remet Ă marcher, comme si elle cherchait le Saint Graal. Elle marche peut-ĂȘtre un peu moins vite, mais peut-ĂȘtre pas suffisamment pour lui. Tant pis, ce n'est pas son genre de s'apitoyer sur les gens, surtout pas sur lui. Quant Ă ton explication, j'aimerais juste mentionner le fait que tu n'as aucun droit d'ĂȘtre jaloux de quoique ce soit. » D'aucune façon. Elle peut paraĂźtre mĂ©chante, mais elle est simplement honnĂȘte comme l'a toujours ils parviennent Ă trouver ce bar qui semblait ĂȘtre une lĂ©gende jusqu'ici tant ils ont marchĂ© pour le trouver. Le premier verre est pour moi. » Elle avait parlĂ© de prendre un seul verre, mais maintenant qu'elle a trouvĂ© le bar, il y a de fortes chances qu'elle ne tienne pas paroles. Sans parler du fait que cela fait bien longtemps, qu'elle n'a pas participĂ© Ă ce genre de soirĂ©e oĂč mĂȘme beaucoup trop bu. AprĂšs tout c'est halloween, elle n'a pas Ă se soucier de l'Ă©tat dans lequel elle sera, son costume lui empĂȘche toute honte future. InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re FantĂŽme, es tu lĂ ? Sam 1 FĂ©v - 1301 Dylan & Devonâ Le bonheur ! Quelqu'un t'a dĂ©jĂ dit ce que c'est ? Ăa me paraĂźt un fantĂŽme aprĂšs lequel tout le monde court et que personne ne rĂ©ussit Ă attraper. âEtrange sensation que dâĂȘtre de nouveau au bras de Dylan. Si en revenant Ă New York, on lui avait dit quâil serait Ă ses cĂŽtĂ©s en train de boire un verre, il ne lâaurait pas cru une seule seconde Et pourtant, câĂ©tait bien cette femme qui Ă©tait Ă cĂŽtĂ© de lui. A Miami, il avait souvent pensĂ© en elle, en bien, Ă©videment. Lâaveugle faisait de son mieux pour ne pas quâun malaise sâinstalle. NĂ©anmoins, certaines rĂ©flexions Ă©taient encore trop difficiles Ă garder pour lui, et câest donc tout seul que sortaient des phrases telles que Câest fou tu lis en moi comme dans un livre. A croire quâil nây a que toi qui sois capable de faire cela. »Quand le chroniqueur sportif faisait des courbettes Ă une femme, ce nâĂ©tait pas en se rabaissant. Au contraire, son Ă©go Ă©tait tel quâil lui Ă©tait presque impossible de ravaler sa fiertĂ©. Sa technique consistait Ă gonfler lâĂ©go des autres. Devon Ă©tait persuadĂ© que la belle Cooper raffolait de ce genre de flatterie, mĂȘme si elle ne lui dirait jamais. Dylan nâĂ©tait pas comme toutes les femmes que Devon faisait craquer en une soirĂ©e. Dylan Ă©tait plus intense, plus profonde, plus entiĂšre et ce nâĂ©tait pas en quelques heures quâil arriverait Ă la faire flancher, si câĂ©tait dans ses intentions, il lui faudrait des mois, et pourquoi pas des annĂ©es avant quâil nâait la moindre chance avec elle. Tu sais bien que je suis comme un enfant, plus tu mâinterdis des choses et plus jâai envie de les faire. Autrement dit, tu mâincites Ă te demander si ton conjoint tient la route. »Large sourire sur son visage. MĂȘme quand Dylan est sĂšche avec lui, il trouve encore le moyen de retomber sur ses pattes. A croire quâil est prĂȘt Ă pas mal de pirouettes pour retomber sur ses pattes en la prĂ©sence de Madame. Certains diront que câest Dylan qui le pousse Ă ĂȘtre aussi imaginatif. A vrai dire, Dylan Ă©tait un peu comme une drogue qui avait pour effet de faire abstractions de millions de choses plus ou moins importantes dans la vie de lâaveugle tels que son mĂ©tier, sa passion, sa famille pour se concentrer sur la seule est unique chose importante Ă cĂŽtĂ© dâelle lui faire tourner la tĂȘte. Et cerise sur le gĂąteau, elle dĂ©cide dâelle-mĂȘme dâoffrir les consommations. Devon, ne va pas sâen plaindre, il est ravi. Donc, puisque tu payes le premier verre, je te propose de poser la premiĂšre question. La derniĂšre fois quâon a parlĂ© ensemble, tu Ă©tais encore Ă la facultĂ©, je suppose quâavec les annĂ©es tu as finit par ĂȘtre diplĂŽmĂ©e. Et te connaissant, tu nâes pas devenue femme au foyer ! »CâĂ©tait le premier sujet que tout le monde abordait quand ils voulaient renouer des liens. Bien sur, Devon nâavait jamais Ă©tĂ© trĂšs au courant des activitĂ©s de la jeune femme. A vrai dire, si elle ne lui avait pas dit lors de leur premiĂšre rencontre Ă la piscine quâelle Ă©tait Ă©tudiante, lâaveugle nâen aurait jamais rien reçu. MalgrĂ© tout cela, il se demande bien ce quâelle a pu devenir. Des mĂ©tiers exotiques et quelques peu excitants se dessinent dans lâesprit farfelu de Devon tantĂŽt il la voit danseur de charme dans un cabaret, puis avocate implacable dans un cabinet rĂ©putĂ©, pour enfin devenir crĂ©atrice de mode. Dans tous les cas, elle a toujours ses cheveux longs qui volent Ă mesure de ses dĂ©placements. Les cheveux longs de Dylan ont toujours Ă©tĂ© le grand point faible de Devon. Rien quâĂ les imaginer, il a des frissons le long de son dos.c InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re FantĂŽme, es tu lĂ ? Mer 5 Mar - 152 S'il pensait rĂ©ellement que ce genre de phrase allait marcher, il pouvait continuer un moment. Marcher pourquoi, elle ne savait pas et ne pensait mĂȘme pas qu'il y avait quelque chose Ă faire marcher de toute façon, mais sa rĂ©flexion n'eu pour effet que de lui faire lever les yeux au ciel. Bien Ă©videmment... Je crois que tu me surestimes. N'importe qui Ă cĂŽtĂ© de toi, aurait fini par se poser des questions. » N'importe qui, qui le connaissait depuis quelque temps. Quel Ă©tait l'intĂ©rĂȘt de lui avoir dit qu'il avait retrouvĂ© la vue, alors que de toute Ă©vidence ce n'Ă©tait pas vrai ? Elle se posait la question, mais au final c'Ă©tait sans rĂ©elle importance. Qu'il est retrouvĂ© la vue ou non, ne changeait pas grand-chose dans le fond, il l'empĂȘchait seulement d'accĂ©der plus rapidement au bar. Elle n'Ă©tait pas totalement d'humeur Ă faire la conversation, maintenant qu'elle avait en tĂȘte d'aller boire un verre. Heureusement, Halloween faisait partie de ces fĂȘtes qu'elle aimait, mĂȘme si elle aurait encore plus apprĂ©ciĂ© d'ĂȘtre accompagnĂ©e de son mari. Seulement ce n'Ă©tait pas le cas, ce qui lui valait de se faire questionner. Il tient plus que la route. » Bon, ce n'Ă©tait pas totalement le cas en ce moment, mais elle n'allait certainement pas lui parler de cela, pas Ă lui. Elle avait dĂ©jĂ du mal Ă en parler avec les personnes proches d'elle, alors les autres. Cela dit, je dirais que tu es pire qu'un enfant. Un enfant, serait passĂ© Ă une autre question. » Elle n'Ă©tait pas fĂąchĂ©e, seulement amusĂ©e. Bien Ă©videmment, que de ne pas rĂ©pondre Ă ses questions, n'allait faire que l'encourager Ă en poser. Erreur classique de pour tout le monde, et surtout pour elle, le wagon bar fut enfin Ă portĂ©. Pour se fĂ©liciter de sa trouvaille, le premier verre Ă©tait pour elle. Techniquement elle avait dit oui, pour un seul verre, mais en rĂšgle gĂ©nĂ©ral cela ne se passait jamais de la sorte. Elle passa commande et laissa Devon choisir ce qu'il voulait avant de payer. Oui, mĂȘme les super hĂ©ros doivent payer leurs consommations. Dans ce cas, j'espĂšre que tu n'as pas beaucoup de questions Ă me poser, parce qu'une question par verre, ça va vite devenir compliquĂ©. » Ă la suite de cela, elle but une gorgĂ©e avant d'envisager de rĂ©pondre Ă sa question. Pourquoi est-ce qu'il pouvait bien s'intĂ©resser Ă cela ? Elle aurait pariĂ© sur le passĂ©, s'Ă©tant elle-mĂȘme dĂ©jĂ posĂ©e la question sur ce qu'il pouvait bien devenir. MĂȘme si au final, elle avait fini par se faire Ă l'idĂ©e qu'elle n'aurait probablement jamais l'occasion de lui demander. GrossiĂšre erreur, elle pouvait dĂ©sormais le faire. Femme au foyer ? Non. MĂȘme si c'est vrai qu'il est assez dĂ©licat de concilier le travail et vie de famille, surtout lorsqu'on a un enfant... » Cela avait Ă©tĂ© plus fort qu'elle de sortir cela. Elle Ă©tait curieuse de sa rĂ©action, alors que bien Ă©videmment elle n'avait pas d'enfant. Cela n'Ă©tait pas dans ses plans futur. Si lui pouvait lui raconter des mensonges sur certains points de sa vie, elle le pouvait aussi. Heureusement qu'il Ă©tait aveugle, parce qu'avec le sourire stupide qu'elle avait sur le visage, il n'aurait pas mis longtemps Ă comprendre qu'elle se moquait de lui. Mais ce n'Ă©tait pas le cas, elle pouvait donc siroter son verre en toute tranquillitĂ©. Je ne te retourne pas la question, puisque tu n'as pas encore payĂ© ta tournĂ©e. » Contenu sponsorisĂ© Empire State of Mind Sujet Re FantĂŽme, es tu lĂ ? FantĂŽme, es tu lĂ ? Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumNEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclage
Aller au contenu principalOu plutĂŽt, ça aurait dĂ» ĂȘtre la fĂȘte⊠Lors du week-end de lâAscension, les catĂ©chumĂšnes des paroisses du Joran et de la BARC, accompagnĂ©s dâune belle brochettes de et de devaient vivre un camp en jours de vie en groupe pour dĂ©couvrir, expĂ©rimenter et questionner lâĂvangile! Cette annĂ©e, les festivitĂ©s sont reportĂ©es au week-end du JeĂ»ne FĂ©dĂ©ral. Mais pour avoir un avant-goĂ»t de cette fĂȘte, et pour nous rĂ©jouir dĂ©jĂ , nous avons la semaine derniĂšre proposĂ© Ă lâĂ©quipe de commencer Ă prĂ©parer les KT câest ici â catĂ©chisme Ă distance des paroisses du Joran et de la BARC â ben câest aussi une sacrĂ©e ration de bonne humeur, un soupçon de folie et la joie de partager toujours plus, toujours autrement!Voici les vidĂ©os de cette derniĂšre offre du KT câest ici!La fĂȘte â le dĂ©fi La fĂȘte â le dĂ©fi bibliqueDans ce rĂ©cit de lâĂvangile de Jean, en changeant lâeau en vin et en utilisant pour cela les vases rĂ©servĂ©s Ă un rite religieux, JĂ©sus signifie que la religion, la foi, se vit dans la fĂȘte. Et câest une sacrĂ©ment belle fĂȘte! La fĂȘte â conclusionAucun commentaire⊠Que la fĂȘte de votre vie soit belle!Navigation de lâarticle
Par Luc Michel CENTRAFRICA-NEWS-TV/RCA ADIEU FRANC CFA, ADIEU COLONISATION ! ZOOM AFRIQUE Luc MICHEL/2022 07 23/ * Sur la chaĂźne Vkontact de CENTRAFRICA-NEWS-TV â * Sur la chaĂźne Youtube de CENTRAFRICA-NEWS-TV â Sur le Zoom Afrique de Press TV du 3 juillet 2022 RCA adieu FCFA, adieu colonisation ! La RĂ©publique centrafricaine lance officiellement dimanche 3 juillet le projet sango » câest le nom de la cryptomonnaie voulue par le prĂ©sident Faustin Archange TouadĂ©ra, dans le sillage de lâadoption du bitcoin comme monnaie officielle fin avril. Le chef de lâĂtat devrait prendre la parole sur la plateforme dĂ©diĂ©e Ă cette nouvelle monnaie, qui serait adossĂ©e aux vastes ressources naturelles du pays. La cryptomonnaie est rĂ©volutionnaire, elle va dĂ©mocratiser la dĂ©mocratie » câest dans une vidĂ©o de six minutes chantant Ă la fois ses louanges, celles de la Centrafrique et des cryptomonnaies, que Faustin-Archange Touadera donne rendez-vous pour le lancement officiel du Sango. Attendu en ligne dimanche soir sur la plateforme dĂ©diĂ©e, le chef de lâĂtat sera accompagnĂ© de quatre ministres et de quatre confĂ©renciers prĂ©sentĂ©s comme des spĂ©cialistes du blockchain, la technologie censĂ©e prĂ©server la sĂ©curitĂ© et le stockage des cryptomonnaies. Cette nouvelle dĂ©cision rentre clairement dans le droit fil des politiques indĂ©pendantistes et anti-Occident du prĂ©sident Touadera. AprĂšs avoir repris en main lâarmĂ©e nationale et lâavoir renforcĂ© afin de diminuer le poids des forces Ă©trangĂšres dans le pays qui ont pendant des annĂ©es contribuĂ© Ă lâaffaiblissement de lâarmĂ©e et lâinsĂ©curitĂ©, et ensuite aprĂšs avoir restreint les vols dâespionnage français au-dessus du ciel centrafricain et enfin, depuis le retrait dâune grande partie du contingent de la Minusca du pays, le nouveau volet de la lutte anticoloniale de Touadera est en cours et câest Ă travers un dĂ©tachement du systĂšme financier dirigĂ© par lâOccident, et la monnaie colonialiste FCFA que la RCA compte se dĂ©douaner totalement de la colonisation moderne. Avec lâargent des investisseurs, le projet sango » transformerait lâĂźle des Singes, situĂ©e face Ă la capitale sur la riviĂšre Oubangui, en Ăźle de la crypto » une zone franche sans taxes oĂč palaces, casinos, grand stade et parc aquatique verraient le jour. La valeur du sango serait garantie par les multiples ressources miniĂšres centrafricaines. Les partisans du projet affirment quâil permettra de faire entrer des capitaux dans le pays, et dâinvestir massivement dans les infrastructures. Cette initiative centrafricaine est le dĂ©but dâun vrai processus contre la monnaie colonialiste, le FCFA dans laquelle beaucoup voient les vestiges de lâĂ©poque coloniale française. La RCA aurait ainsi choisi de confier lâarchitecture de sa nouvelle monnaie Ă des acteurs qui dĂ©pendent des marchĂ©s et des capitaux Ă risque. » ________________ CENTRAFICA-NEWS-TVWebtv officielle - officiel- Youtubeâ Vkontakt- Source auteur
c est la fete dans mon bidon